Pourquoi le Véganisme est une façon extrêmement efficace et concrète de lutter pour l’environnement et l’animalité, mais insuffisant pour régler tous les problèmes de ce monde. Permaculture et Véganisme, doivent dialoguer et proposer leurs solutions complémentaires si on veut avoir une chance de survivre en tant qu’espèce mais également vivre dans un monde un peu moins dégueulasse.
La supériorité environnementale de l’élevage extensif sur herbe par rapport à l’élevage hors-sol semble une évidence dans les milieux écologistes. Les prairies stockent-elles plus de carbone que les forêts ? Qu’en est-il vraiment ?
La question de l’agriculture dans un monde végane est non pertinente pour choisir son comportement dans la situation actuelle, mais une agriculture végane serait d’ores et déjà possible et consommerait moins de ressources.
Mots clés : exploitation animale, engrais, traction animale, fertilisation, agriculture biovégétale
Cet article, paru suite au rapport du GIEC sur l’utilisation des sols, fait le point sur l’impact climatique de l’élevage, avec quelques données chiffrées. Il aborde l’impact carbone de l’élevage extensif, la comparaison par rapport à l’impact du transport, l’importance de prendre en compte l’opportunité de stockage perdue à cause de l’élevage et les estimations de gains de l’alimentation végétale
Cet article est une réponse (tardive) à un article paru l’an passé intitulé : « Les méfaits écologiques du Vegan illustrés par l’INRA » qui comporte des raccourcis et des arguments fallacieux problématiques. Je reviens point par point dessus.
Cet article de vulgarisation scientifique passe en revue les principales conséquences de notre consommation de produits animaux et de l’élevage associé sur notre résilience alimentaire, dans un contexte de raréfaction des ressources et de pression exacerbée sur notre environnement.
Voilà une stat qu’on entend souvent : pour produire 1kg de viande, il faut 10kgs de végétaux. Dans la bouche d’un.e animaliste, ce chiffre peut être utilisé dans différents contextes. Mais quand on parle de disponibilité et de faim dans le monde, ce chiffre est il bien pertinent? Au programme : différence entre efficiences brute et nette et topo sur la contribution alimentaire de l’élevage.
L’élevage est responsable de 14,5 % des émissions de gaz à effet de serre. Et de 63 % de la déforestation en Amazonie.
Le 5e rapport du GIEC recommande une diminution importante de la consommation de viande.
Un végétalien émet 2,5 fois moins de GES par son alimentation qu’un omnivore occidental.
Ce rapport de Greenpeace fait le lien entre la consommation de produits animaux de l’UE et les déforestations en Amazonie, dues à la culture du soja qui nourrit les bêtes exploitées. Il se termine sur des recommandations.
Mots-clefs: soja, déforestation, Greenpeace, exploitation, environnement.
La plus grande étude menée à ce jour révèle le considérable impact environnemental du bétail, qui accapare 83 % des terres cultivables tout en ne fournissant que 18 % de nos calories.
Article qui traite du lien entre consommation d’eau et impact écologique. Sujets traités : différences entre méthodes Water Fooprint Assessment et Analyse de Cycle de Vie, prise en compte de l’eau verte, importance de la prise en compte du stress hydrique, communication d’Interbev.
La production de viande et d’œufs nécessite plus d’eau que celle des légumineuses et des céréales.
L’élevage émet des quantités importantes de nitrates, phosphates et autres substances qui s’accumulent dans l’eau et provoquent la prolifération des algues vertes.
Cette émission revient sur les problèmes écologiques de la viande, en particulier ceux liés au soja, dont la production a doublé en vingt ans justement pour nourrir les animaux d’élevage (audio).
Mots-clefs: viande, soja, déforestation, climat.
L’exploitation irresponsable ou hasardeuse des terres, qui induit dégradation des sols et déforestation, menace à la fois la sécurité alimentaire, la biodiversité, le climat et la stabilité des sociétés. Deux études internationales dénoncent l’énorme part de responsabilité de l’élevage dans ces processus.
Vidéo en réponse à l’idée selon laquelle les véganes seraient les premiers responsables de la consommation de soja. Thématique : débouchés du soja en masse et en valeur économique ; dépendance de l’élevage au soja.
Pourquoi le véganisme est-il meilleur pour la planète que d’autres initiatives comme le locavorisme?
Mots-clés: pollution, écologie, élevage.
Un argument des défenseurs de l’élevage d’animaux de boucherie est que ces derniers transforment efficacement les végétaux non comestibles. Cet article montre qu’il existe d’autres alternatives pour valoriser tous les végétaux, pour l’alimentation (champignons), pour l’énergie (combustion directe, biocarburant), comme matériaux (papier, construction…), ou simplement laisser la place aux forêts.
Ce texte propose une réflexion sur les raisons écologiques pouvant mener à adopter une alimentation végétalienne, et sur quelques questions qu’un-e écologiste radical-e peut se poser au sujet de l’exploitation animale.
L’élevage consomme plus de nourriture qu’il n’en produit. Voilà une affirmation souvent soutenue par un chiffre : il faudrait 10 kg de végétaux pour produire 1 kg de viande. Mais est-ce si simple que ça ? C’est ce qu’on essaie de clarifier dans cette vidéo.
Analyse de l’année 2011 : Il existe une forte inégalité dans les disponibilités alimentaires entre les régions du monde. La part des produits d’origine animale dans les disponibilités alimentaires est très supérieure à la moyenne mondiale dans les pays développés. La France se situe parmi les pays où la disponibilité de produits d’origine animale dans l’alimentation est la plus forte.
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