Pourquoi le Véganisme est une façon extrêmement efficace et concrète de lutter pour l’environnement et l’animalité, mais insuffisant pour régler tous les problèmes de ce monde. Permaculture et Véganisme, doivent dialoguer et proposer leurs solutions complémentaires si on veut avoir une chance de survivre en tant qu’espèce mais également vivre dans un monde un peu moins dégueulasse.
Dans une tribune publiée dans Libération, P. Ariès, F. Denhez et J. Porcher prétendent nous expliquer « pourquoi les végans (sic) ont tout faux. » Ce texte révèle une incompréhension profonde de ce que sont l’antispécisme et le véganisme. Mise au point.
Réponse à la « Lettre ouverte aux mangeurs de viande qui souhaitent le rester sans culpabiliser » de Paul Ariès et à un article faisant sa promotion. Sections : production céréalière ; multinationales ; Soja et déforestation ; industrie ; transhumanisme ; intransigeance ; apprentis sorciers ; nazis ; violence militante ; apôtres de la destruction (Only One Solution)
Critique du « Plaidoyer pour les territoires d’un paysan végano-sceptique », qui délivre une bonne dose de blabla pseudo-spirituel, à grand renfort de termes inutilement compliqué. Réponse aux arguments : Le véganisme est par définition a-territorial et repose sur l’extractivisme ; L’élevage est indispensable à la biodiversité d’un territoire ; Interdire aux paysans d’élever des animaux serait terrible pour eux et les rendrait malheureux ; Le véganisme repose sur des dualismes manichéens ; contre l’uniformisation du monde
Article qui traite du lien entre consommation d’eau et impact écologique. Sujets traités : différences entre méthodes Water Fooprint Assessment et Analyse de Cycle de Vie, prise en compte de l’eau verte, importance de la prise en compte du stress hydrique, communication d’Interbev.
Contre-argumentation du livre de Paul Ariès, « Lettre ouverte aux mangeurs de viande qui souhaitent le rester sans culpabiliser ». Thèmes : comparaison à Hitler, prise en compte des écosystèmes, critères éthiques anthropocentriques, détection de la sentience, tuer sans souffrance, humanisme, convergence des luttes, invariants anthropologiques, animaux tués dans l’agriculture, victimes végétales…
Le rôle des pâturages dans l’absorption du CO2 est largement surestimé par les défenseurs de l’élevage. Les lobbies de l’agroalimentaire insufflent une incertitude scientifique face à des rapports internationaux accablants, dans le but de défendre les « bénéfices des prairies » et les « atouts » d’un modèle agricole devenu obsolète.
Cet article traite de la séquestration de carbone dans les prairies : comment cela fonctionne, quel est l’influence des animaux (piétinement, déjections et broutage), quel est le potentiel et comment l’améliorer, quelles sont les limites.
Réponse à la justification de l’élevage par l’idée que les prairies seraient des puits de carbone, particulièrement avec une gestion holistique des pâturages, que les vaches de réformes pollueraient moins, et que le fumier serait nécessaire à l’agriculture végétale.
Stigmatiser le secteur élevage pour son apparent mauvais rendement énergétique et ses émissions de méthane serait une erreur. Cet article aborde la valorisation des fourrages et terrains non-cultivés, la qualité des sols de prairies et le stockage du carbone dans leurs sols.
Réponse à une Tribune de Libération, datée du 18 mars 2018, au titre très mesuré et informatif, dans le respect des codes du bon journalisme, de « Pourquoi les végans ont tout faux ».
Cet article est une réponse (tardive) à un article paru l’an passé intitulé : « Les méfaits écologiques du Vegan illustrés par l’INRA » qui comporte des raccourcis et des arguments fallacieux problématiques. Je reviens point par point dessus.
Vidéo en réponse à l’idée selon laquelle les véganes seraient les premiers responsables de la consommation de soja. Thématique : débouchés du soja en masse et en valeur économique ; dépendance de l’élevage au soja.
Article rappelant le rôle central de l’élevage dans l’agroécologie telle qu’elle est pratiquée actuellement. Mathieu Marguerie y défend qu’une agroécologie optimale reposerait sur de l’élevage paysan extensif afin de maintenir : la fertilité des terres, l’exploitation des terres les moins fertiles, l’utilisation des coproduits non comestibles par des humains, ainsi que la biodiversité des prairies
Réponse au Raptor Dissident sur l’Amazonie et le soja brésilien. Boonkin Studio revient tout d’abord sur l’évolution des feux en Amazonie ces 20 dernières années et le rôle du réchauffement climatique, puis sur la notion de « poumon de la terre ». La seconde partie aborde le soja : l’élevage et les tourteaux comme principal débouché économique des cultures (devant l’huile) ; consommation moyenne d’une vache, procédé de fabrication du tofu et ses résidus.
Un état des controverses autour de la viande cellulaire (2019), et en particulier sur l’impact carbone. Le titre répond à l’INRA « La viande in vitro, une fausse bonne idée ? ».
Mots-clés: viande propre, viande cellulaire, viande de culture
Les zones humides font de la Somme un patrimoine naturel remarquable. Ces milieux ont été préservés, jusque-là, grâce aux troupeau qui y pâturent. Mais l’élevage est en déclin…
Dans un communiqué, Interbev affirme vouloir “rétablir des vérités”. En tant qu’association qui s’intéresse aux problèmes environnementaux, sanitaires et éthiques posés par la viande, l’AVF propose un fact-checking documenté aux affirmations non sourcées d’Interbev.
« Quand un paysan élève son bétail avec de la prairie, il permet la capture du carbone par le sol ». Cet argument est-il fondé?
Si l’impact de la viande sur le réchauffement climatique est souvent remis en cause, réduire notre consommation est pourtant essentiel à la baisse des émissions de gaz à effet de serre. Réponse à Bjorn Lomborg, universitaire danois devenu mondialement célèbre grâce à son best-seller L’Écologiste sceptique (2004). Mots clés : Médias, Réchauffement climatique, Déforestation, Végétalisation
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