Greenpeace appelle à une réduction planétaire de la consommation de viande et de produits laitiers de 50 % d’ici à 2050. Pour lutter contre les problèmes sanitaires et environnementaux engendrés par la production industrielle de viande et produits laitiers, Greenpeace réclame notamment une réorientation des subventions destinées à l’agriculture vers des modèles d’élevages écologiques.
Article abordant la consommation d’eau des produits d’origine animale. Au programme : explication du concept d’empreinte eau et de ses limites, analyse de l’empreinte eau des produits d’origine animale, comparaison avec les végétaux, analyse de l’impact du régime alimentaire sur l’empreinte eau des pays.
Contenu pédagogique et vidéos. Les conséquences de la production de viande et de lait sur l’environnement seraient plus importantes que les experts ne le pensaient.
Article qui traite du lien entre consommation d’eau et impact écologique. Sujets traités : différences entre méthodes Water Fooprint Assessment et Analyse de Cycle de Vie, prise en compte de l’eau verte, importance de la prise en compte du stress hydrique, communication d’Interbev.
Cette émission revient sur les problèmes écologiques de la viande, en particulier ceux liés au soja, dont la production a doublé en vingt ans justement pour nourrir les animaux d’élevage (audio).
Mots-clefs: viande, soja, déforestation, climat.
Environ 70 % de l’espace agricole du monde est utilisé pour le pâturage ou la production d’aliments destinés aux animaux d’élevage. 91 % de la surface aujourd’hui détruite de forêt amazonienne l’est pour libérer de l’espace nécessaire au pâturage ou à la production de soja. Cette déforestation contribue à libérer les vastes quantités de carbone stockées par la forêt.
L’exploitation irresponsable ou hasardeuse des terres, qui induit dégradation des sols et déforestation, menace à la fois la sécurité alimentaire, la biodiversité, le climat et la stabilité des sociétés. Deux études internationales dénoncent l’énorme part de responsabilité de l’élevage dans ces processus.
Voilà une stat qu’on entend souvent : pour produire 1kg de viande, il faut 10kgs de végétaux. Dans la bouche d’un.e animaliste, ce chiffre peut être utilisé dans différents contextes. Mais quand on parle de disponibilité et de faim dans le monde, ce chiffre est il bien pertinent? Au programme : différence entre efficiences brute et nette et topo sur la contribution alimentaire de l’élevage.
La question de l’agriculture dans un monde végane est non pertinente pour choisir son comportement dans la situation actuelle, mais une agriculture végane serait d’ores et déjà possible et consommerait moins de ressources.
Mots clés : exploitation animale, engrais, traction animale, fertilisation, agriculture biovégétale
La production de produits animaux nécessite de très grandes quantités d’eau et l’élevage industriel génère une redoutable pollution des nappes phréatiques.
Ce texte propose une réflexion sur les raisons écologiques pouvant mener à adopter une alimentation végétalienne, et sur quelques questions qu’un-e écologiste radical-e peut se poser au sujet de l’exploitation animale.
Analyse de l’année 2011 : Il existe une forte inégalité dans les disponibilités alimentaires entre les régions du monde. La part des produits d’origine animale dans les disponibilités alimentaires est très supérieure à la moyenne mondiale dans les pays développés. La France se situe parmi les pays où la disponibilité de produits d’origine animale dans l’alimentation est la plus forte.
Comparaison des impacts de l’élevage de différentes espèces et labels, en terme d’utilisation des ressources, de surface et de concurrence alimentaire. L’article précise quelques bénéfices apportés par certaines pratiques, tout en soulignant l’impact positif drastique d’une plus grande végétalisation de l’alimentation.
L’élevage est il un moyen efficient d’utiliser les terres agricoles, et peut il contribuer à la sécurité alimentaire mondiale ? Cet article de vulgarisation compare entre autres les surfaces agricoles nécessaires pour nourrir une personne suivant son régime alimentaire et aborde la capacité de l’élevage à exploiter des ressources non valorisables directement par l’humain.
Les élevages cunicoles sont source de grandes souffrances pour les lapins et sont contraires aux objectifs de développement durable. Bref article sur les pollutions de l’air, des eaux et l’utilisation de ressources.
La plus grande étude menée à ce jour révèle le considérable impact environnemental du bétail, qui accapare 83 % des terres cultivables tout en ne fournissant que 18 % de nos calories.
La production de viande et d’œufs nécessite plus d’eau que celle des légumineuses et des céréales.
L’élevage émet des quantités importantes de nitrates, phosphates et autres substances qui s’accumulent dans l’eau et provoquent la prolifération des algues vertes.
Selon l’Ademe, en se basant sur la consommation des français déclarée sur Nutrinet, L’alimentation moyenne (107g de viande par jour) nécessite 3,6 fois plus de surface agricole qu’une alimentation végétalienne. La différence d’impact sur l’utilisation des sols entre les régimes les plus carnés et régimes végétaliens s’aggrave quand on considère une alimentation biologique.
L’élevage consomme plus de nourriture qu’il n’en produit. Voilà une affirmation souvent soutenue par un chiffre : il faudrait 10 kg de végétaux pour produire 1 kg de viande. Mais est-ce si simple que ça ? C’est ce qu’on essaie de clarifier dans cette vidéo.
Cette vidéo de vulgarisation scientifique aborde la question de l’efficacité de l’élevage en matière d’exploitation des terres agricoles. Facteurs abordés : terres cultivable ou non arables, efficience nette ou brute suivant les types d’aliments consommés par les élevages (dont coproduits agricoles non comestibles par les humains et gaspillage alimentaire), efficacité calorique ou suivant un régime alimentaire sain, régime alimentaire des populations et proportion de végétariens, spécificités des territoires et modèles agricoles.
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