Il existe des aliments végétaliens pour chiens et chats. Ils sont formulés pour répondre à leurs besoins nutritionnels particuliers. Alors que les chiens peuvent à la rigueur manger la même nourriture (supplémentée en B12) que les humains, les chats ont absolument besoin d’aliments adaptés.
En surface, les débordements anti-véganes sont contre-intuitifs : en décidant de nuire au moins de créatures vivantes possible, les véganes deviennent source de colère. Raisons rapportées : le traitement médiatique déséquilibré, la mise en question de sa propre moralité, la mise en question des normes sociales, l’adhésion à des valeurs de droite, la protection face à la dissonance cognitive.
Cet article du chercheur en psychologie sociale Gordon Hodson liste les principales conclusions des études de 2017 à 2019 sur les préjugés et discriminations envers les végéta*iens. Il traite de l’intensité de la végéphobie (supérieure au rejet de nombreux autres groupes sociaux) et des facteurs qui l’influence (bord politique, empathie envers les animaux, genre, raison du végéta*isme…).
Article enthousiaste vis-à-vis du développement des copies de produits animaux. Pour lui, il serait surement temps de revoir nos priorités pour apporter plus de soutien à ce secteur économique.
Selon l’avis de l’Académie Royale de Médecine de Belgique paru en mai 2019, le régime végétalien est inadapté et donc non recommandé pour les enfants à naître, les enfants et les adolescents, de même que les femmes enceintes et allaitantes. Les supplémentations obligatoires, les déséquilibres métaboliques et l’obligation d’un suivi médicalisé ne sont donc pas admissibles.
Selon une étude publiée dans The Journal of Nutrition, les taux de substances phytochimiques (composés présents dans les plantes) comme les caroténoïdes, les isoflavones, l’entolactone, les oméga-3 et l’acide gras essentiel ALA sont plus élevées chez les végétariens et végétaliens, témoignant d’un profil de biomarqueurs plus sain.
Le mythe de la combinaison des protéines végétales frappe encore et toujours. Pour rappel, le mythe des protéines végétales soit-disant « incomplètes », selon lequel il faudrait associer céréales et légumineuses afin d’obtenir une protéine de bonne qualité, est complètement infondé.
Certaines attaques contre le véganisme se basent sur l’idée que l’alimentation végétale serait « non naturelle » et carencée (entre autres en B12). Pourtant, la frontière entre naturel ou non est assez arbitraire, et ce qui est naturel n’est pas forcément meilleur. De plus, de nombreux aliments perçus comme naturels (dont les produits animaux) sont enrichis en nutriments.
La viande cultivée ne pourrait pas mettre fin à l’exploitation animale sans renforts de l’activisme animaliste. Ceci est essai d’anticipation sur les impacts possibles de la viande cellulaire.
Mots-clés: viande propre, cellulaire, anticipation, stratégie, tactique, futur.
Témoignages de gardien-ne-s de chiens qui les nourrissent de manière véganes (+ liens vers plus de témoignages sur facebook).
Mots-clés: animaux de compagnie, chiens, alimentation végane.
Article déconseillant une alimentation non complémentée à base de végétaux et prévenant des carences possibles. Conclusion : Si malgré tout vous décidez de convertir votre ami à quatre pattes, il est judicieux de compléter son régime avec des compléments nutritionnels. Cela contribuera à équilibrer son alimentation pour prévenir les problèmes pouvant se rattacher à diverses carences.
Penser que consommer des produits laitiers ne provoque la mort d’aucun animal est erroné. Comme tout mammifère, pour qu’une vache produise du lait, elle doit avoir un petit.
L’engagement animaliste va donc de pair avec le véganisme. Cela peut toutefois faire peur : « régime sans », « effet de mode », dérive « religieuse » ou « sectaire »… Qu’en est-il vraiment ?
Certaines personnes affirment qu’il faudrait ou non consommer des produits d’origine animale parce que les êtres humains seraient « naturellement carnivores (ou omnivores) ou « naturellement végétariens ». Rapide mise au point
Le véganisme est parfois décrit comme une mode, un régime alimentaire dangereux, une religion ou une lubie. D’un point de vue nutritionnel, que dit la science de ce caractère « nécessaire » ?
Courts extraits et liens vers les conclusions de 8 grandes instances nutritionnistes.
Plusieurs petites études rassemblées en 1999 pour réaliser une analyse statistique mondiale ont abouti à la conclusion que la mortalité des véganes égalait celle des personnes dont l’alimentation est conventionnelle.
Pourquoi parle-t-on si peu en France de l’alimentation végétalienne chez les enfants, alors même qu’il s’agit d’un phénomène courant à l’échelle mondiale et que les instances médicales américaines disent que cela ne pose pas de problème?
Mots-clés: enfants, tabou, véganisme.
L’ANSES recommande désormais de limiter la consommation de viande rouge à moins de 70 g par jour et les charcuteries à moins de 25 g par jour, dans le cadre de la mise à jour du Plan National Nutrition Santé (PNNS). Petite présentation des recommandations, de leurs limites et de leurs conséquences.
Découvrir les recommandations nutritionnelles de plusieurs pays adaptées à l’alimentation vegan. Pourquoi les recommandations françaises officielles du Plan National Nutrition Santé (PNNS) sont-elles uniquement basées sur les produits animaux ?
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