Nombre d’animaux abattus en France en 1992, selon le Ministère de l’Agriculture.
Si l’objectif est l’abolition de l’exploitation animale, deux facteurs clés semblent plus cruciaux que le nombre de victimes une année donnée : la prise en compte culturelle des intérêts des animaux et la facilité à se passer de l’exploitation animale. Les critères peuvent être la connaissance et l’acceptation de nos arguments par le grand public et la normalisation du véganisme.
Dans un article publié le 3 février 2015 dans The Guardian, Peter Singer, auteur de La libération animale, fait le point 40 ans après la publication de son ouvrage majeur.
Mercredi 28 janvier 2015, l’Assemblée nationale a voté en lecture définitive la disposition de loi reconnaissant l’animal comme étant un « être vivant doué de sensibilité », grâce à l’amendement déposé par Jean Glavany. Quelles sont les conséquences de ce changement ?
Dans un nouvel article paru en juin 2018, VegNews explique que l’industrie mondiale des cosmétiques véganes devrait presque doubler à mesure que les consommateurs deviendront de plus en plus conscients et responsables envers les animaux. Ainsi les marques commencent déjà à ajuster leurs portefeuilles produits pour s’adapter au changement.
On le voit, ce n’est pas parce qu’une personne n’est pas à 100 % végane qu’elle ne fait pas avancer les choses. Selon une étude récente, 36 % des Américains se disent ouverts à l’alimentation végétale. Et c’est un changement qui sauve de façon directe la vie de nombreux animaux : pas moins de 400 millions rien que l’année dernière.
2018 – La consommation de viande a baissé, de même que la production, tandis que la question même de l’acceptabilité de l’élevage est posée par le développement d’un fort mouvement vegan dans le pays. Sections : Un label bien-être animal ; Une baisse de la consommation ; Pic de production ; Mouvement vegan fort ; Impact politique limité
Selon les dernières recherches de Mintel (célèbre société d’études de marché basée à Londres.), la part des produits sans aucun ingrédient animal a presque doublé entre 2014 et 2017 en Angleterre.
One Voice et Ipsos ont lancé en 10/2018 une étude sur la perception de la chasse par les Français. Le public rejette massivement la chasse et plébiscite une réforme radicale. 19% des Français sont favorables à la chasse, ils trouvent cette pratique dangereuse pour eux (84%), cruelle pour les animaux, et faisant certes partie du patrimoine français, mais d’un autre âge.
Principaux enseignements d’une étude déclarative intitulée « Les attitudes et tendances alimentaires des Français » commandée par l’INTERBEV et réalisée par IPSOS, indiquant entre autre la fréquence de consommation de différents groupes alimentaires, ce qui motive les choix alimentaires, les avis sur l’élevage et le nombre de végétariens (4%).
Une étude menée auprès de 500 personnes de 15 ans et plus, représentative de la population française, conduite online avec le panel Toluna du 29 mai au 1er juin 2015.
Pour avoir un point de vue critique sur les articles stratégiques se basant sur la situation aux Etats-Unis, et savoir à quel point leurs conseils seraient transposables à la situation française, cet article compare la situation du mouvement animaliste aux États-Unis et en France.
Pour moi, c’est ça, l’avenir du veganisme dans les restaurants : ne pas avoir de label. Parce qu’un label exclut un peu malgré lui. Lorsqu’il indique qu’un tel plat est « adapté pour… », certaines personnes peuvent en être repoussées. On aura gagné la bataille quand le mot vegan n’existera plus.
En 1950, la production mondiale des pêcheries était de 17,5 millions de tonnes. En 1995, elle atteignait 93,3 millions de tonnes, soit plus de 5 fois plus. Depuis cette date, les prises fluctuent autour de ce niveau, en dépit de l’augmentation des capacités de pêche.
La libération animale est probablement la problématique de justice sociale la plus ardue et la plus large que les humains n’aient jamais abordée. Les enjeux sont immenses, les abats sont sur toutes les tables, la tâche semble incroyablement intimidante. Et pourtant je suis sûr que nous allons gagner.
Graphiques dynamiques et données sur l’abattage d’animaux terrestre pour la consommation alimentaire en France, permettant de suivre l’évolution par année. Les chiffres présentés sont issus des statistiques émis par le Ministère de l’Agriculture (Agreste) et concernent les poules, canards, dindes, lapins, pintades, vaches, moutons, chèvres, oies, chevaux et cervidés.
L’adoption au Canada du projet de loi 54 sur la condition animale fait état d’un consensus: les animaux méritent certains droits. Et pourtant, bien peu est fait pour enrayer la machine de l’exploitation animale.
Mots-clés: Desaulniers, projet loi 54, industries alimentaires.
À partir des années 1990, la défense des animaux est montée en puissance, aussi bien dans le monde intellectuel que dans les milieux associatifs. Renan Larue retrace 30 années d’animalisme en France.
Editorial au magazine végane n°4, qui se pose la question de savoir si l’on peut parler d’une génération végane, possiblement encouragée entre autre par son rapport à la culture internet.
Mots-clés: véganes, génération, internet.
État des lieux et perspectives quant au rapport de force économique entre laits végétaux et laits animaux.
Mots clés : lait, économie, industrie laitière, lait végétal
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