Panorama des innovations dans le domaine du droit animalier et de son enseignement (Monde Diplomatique, 2018).
Mots-clés: droit, animalier, animaliste, juriste, loi, code.
Florilège des 20 avancées obtenues pour les animaux en 2017, réparties en trois groupes : 1) les avancées réalisées auprès du grand public/de l’attention médiatique, 2) du monde politique, et 3) du monde des entreprises.
Cet article fournit quelques indications générales sur le courant de la philanthropie appelé « altruisme efficace ». Il décrit ensuite la façon dont ce courant cherche à améliorer la condition animale, dans les deux domaines d’intervention qui sont les siens : bien-être des animaux d’élevage et bien-être des animaux sauvages.
De l’anthropocentrisme au zoocentrisme – Comment les sciences humaines traitent-elles les rapports entre humains et animaux ? L’animal progresse des deux côtés de l’Atlantique en tant que sujet d’étude légitime, voire en tant que sujet politique à part entière.
Mots-clés: sciences sociales, université.
Le mouvement punk est aussi et surtout celui d’une démarche politique, d’un engagement social, avec de nombreux groupes condamnant toute forme de domination à l’égard des êtres humains et des animaux.
Ce chapitre aborde la prévalence de l’utilitarisme comme guide éthique au sein de l’altruisme efficace animalier. Il détail en particulier sa promotion de la non assistance instrumentale à travers la présentation des refuges comme étant de mauvais investissements altruistes, et les oppositions suscitées. L’utilitarisme est nuancé par la volonté d’inclusivité « intersectionnelle » du mouvement.
Ce chapitre aborde certains points forts du mouvement de l’altruisme efficace animalier, dont sa bonne volonté dans la collecte d’information, sa réactivité face aux critiques (d’accointance avec les entreprises ou d’enthousiasme pour les réformes), son ouverture à ce qui se fait et pense dans d’autres mouvements sociaux, et son désir de prendre des initiatives là où cela lui semble prometteur.
Chapitre abordant c que l’altruisme efficace animalier apporte concernant la réflexion ou l’action en faveur des animaux sauvages (RWAS) : L’assertion de la prédominance de la souffrance en recul ; Moins d’éthique « antinaturaliste », plus de biologie du bien-être ; Un appel à se rapprocher des conservationnistes ; Des recommandations prudentes face à l’incertitude sur les conséquences.
Pourquoi le milieu de l’AE est particulièrement ouvert à la prise en considération des animaux ? Quelles organisations ou compartiments d’organisations de l’AE se consacrent à la question animale (animaux d’élevage et animaux sauvages) ? Quel est le profil des altruistes efficaces (AEs) qui s’y intéressent ?
Ce chapitre raconte comment l’ambition de chiffrer le bien accompli, ou l’utilité des êtres sentients, a pu conduire les altruistes efficaces animaliers à s’égarer. Il aborde le chiffrage très incertain et le rétropédalage sur l’efficacité du tractage végane, et la persistance du mouvement à produire des évaluations douteuses tout en acceptant qu’elles le soient.
1/ Combien y a-t-il réellement de vegans en France ?
2/ La France a-t-elle une proportion de vegans comparable à celles de nos voisins européens ?
3/ Quel est le niveau de véganisme dans les autres pays du globe ?
4/ Pourquoi le nombre de vegans est-il si faible en France ?
5/ Les Français sont-ils motivés par un changement de consommation ?
6/ Peut-on dégager une tendance ?
À partir des années 1990, la défense des animaux est montée en puissance, aussi bien dans le monde intellectuel que dans les milieux associatifs. Renan Larue retrace 30 années d’animalisme en France.
On le voit, ce n’est pas parce qu’une personne n’est pas à 100 % végane qu’elle ne fait pas avancer les choses. Selon une étude récente, 36 % des Américains se disent ouverts à l’alimentation végétale. Et c’est un changement qui sauve de façon directe la vie de nombreux animaux : pas moins de 400 millions rien que l’année dernière.
Graphiques dynamiques et données sur l’abattage d’animaux terrestre pour la consommation alimentaire en France, permettant de suivre l’évolution par année. Les chiffres présentés sont issus des statistiques émis par le Ministère de l’Agriculture (Agreste) et concernent les poules, canards, dindes, lapins, pintades, vaches, moutons, chèvres, oies, chevaux et cervidés.
Regard sur un courant de l’antispécisme franco-suisse qui, après avoir été le berceau de la Veggie Pride, plaide à partir de 2010 « pour l’abolition du véganisme ». Son effort pour attirer vers lui des militants passe une rhétorique ne cherche pas tant à offrir une analyse exacte du mouvement des droits des animaux qu’à indiquer la voie à suivre au moyen d’un jeu d’oppositions tranchées.
Enquête sur l’accointance du syndicat agricole majoritaire FNSEA et le gouvernement, faisant le point sur l’augmentation de la répression de la contestation de 2017 à 2019. L’article discute largement de la cellule Demeter, mais aussi d’autres pressions législatives contre les mouvements animalistes et écologistes.
Table ronde entre chercheur-e-s qui retrace l’histoire des rapports animaux-humains.
Mots-clefs: histoire, animaux, humains.
Principaux enseignements d’une étude déclarative intitulée « Les attitudes et tendances alimentaires des Français » commandée par l’INTERBEV et réalisée par IPSOS, indiquant entre autre la fréquence de consommation de différents groupes alimentaires, ce qui motive les choix alimentaires, les avis sur l’élevage et le nombre de végétariens (4%).
L214 est le représentant français de l’Open Wing Alliance, coalition internationale d’associations poursuivant l’objectif de faire disparaître l’élevage en cage. Voici la liste des enseignes engagées en France.
Retour sur l’histoire et la perception du véganisme au Québec, pour éclairer la situation actuelle. Par E. Desaulniers.
Mots-clés: histoire, Québec, perception, véganisme.
Commentaires (0)