Traduction du blog Sustainable Dish soutenant en 20 points que les conséquences d’une réduction de la consommation de viande rouge pourraient être dévastatrices pour les gens et la planète. Mots clés : corrélations/causalité, protéines, digestion du lait, carences générales, manque de production végétales, stockage de carbone, valorisation de végétaux non comestibles, etc.
Les zones humides font de la Somme un patrimoine naturel remarquable. Ces milieux ont été préservés, jusque-là, grâce aux troupeau qui y pâturent. Mais l’élevage est en déclin…
Stigmatiser le secteur élevage pour son apparent mauvais rendement énergétique et ses émissions de méthane serait une erreur. Cet article aborde la valorisation des fourrages et terrains non-cultivés, la qualité des sols de prairies et le stockage du carbone dans leurs sols.
L’élevage de ruminants est critiqué car il est plus émetteur de gaz à effet de serre que l’élevage des monogastriques. Il assure de nombreux services, économiques, sociaux et environnementaux : maintien des territoires ; cycles de nutriments ; valorisant des végétaux non consommables par l’homme ; patrimoine gastronomique et culturel
Depuis quelques mois, émerge un débat de plus en plus envahissant et bien peu équilibré autour de la question de l’élevage et de l’usage des produits animaux, alimentaires ou pas.
Mots clés : impact environnemental de l’élevage, gaz à effet de serre, agriculture, agronomie
Réponse au Raptor Dissident sur l’Amazonie et le soja brésilien. Boonkin Studio revient tout d’abord sur l’évolution des feux en Amazonie ces 20 dernières années et le rôle du réchauffement climatique, puis sur la notion de « poumon de la terre ». La seconde partie aborde le soja : l’élevage et les tourteaux comme principal débouché économique des cultures (devant l’huile) ; consommation moyenne d’une vache, procédé de fabrication du tofu et ses résidus.
Consommer de la viande rime avec émissions de gaz à effet de serre. Mais les émissions provenant de cultures ont été largement sous-estimées, révèle une nouvelle étude sur la qualité des sols. Défense de l’élevage sur prairies contre l’agriculture intensive.
Article rappelant le rôle central de l’élevage dans l’agroécologie telle qu’elle est pratiquée actuellement. Mathieu Marguerie y défend qu’une agroécologie optimale reposerait sur de l’élevage paysan extensif afin de maintenir : la fertilité des terres, l’exploitation des terres les moins fertiles, l’utilisation des coproduits non comestibles par des humains, ainsi que la biodiversité des prairies
Paul Ariès défend la poursuite de l’élevage paysan au nom de la lutte contre le réchauffement climatique, avance qu’il est impossible de nourrir 8 milliards d’humains sans élevage, que le véganisme est utilisé par les promoteurs de nouvelles technologies alimentaires ni naturelles ni écologiques et que l’agriculture végétale tue plus que l’élevage.
Les végans ont substitué à la connaissance des territoires et des animaux une idéologie morale et manichéenne, estime l’éleveur Pierre-Etienne Rault.
Défense de l’élevage traditionnel/paysan, fait avec respect de l’animal et recherche de son bien-être, pour des raisons écologiques (agriculture) mais aussi de recherche du moindre mal envers les animaux.
Ils prônent une rupture totale avec le monde animal, alors que manger de la viande a toujours fait partie de l’histoire humaine, un moment essentiel de partage. Cette relation doit reposer sur un élevage raisonné et bio, respectueux des sols et des terroirs. La meilleure façon d’échapper à l’alimentation industrielle.
Les généralisations abusives qui consistent à mettre toutes les formes d’élevage « dans le même panier » ; Les simplifications sur l’eau consommée, les gaz à effet de serre, la meilleure utilisation des sols ; Remplacer la consommation de viande par des substituts de viande tels que la viande artificielle ou les insectes
L’ajout d’un steak de pâturage biologique occasionnel à votre régime alimentaire pourrait être la bonne façon de résoudre la quadrature du cercle.
Mots clés : Élevage traditionnel / paysan, bien-être, welfarisme, qualité des sols, pâturage, prairies, biodiversité
Pourquoi le Véganisme est une façon extrêmement efficace et concrète de lutter pour l’environnement et l’animalité, mais insuffisant pour régler tous les problèmes de ce monde. Permaculture et Véganisme, doivent dialoguer et proposer leurs solutions complémentaires si on veut avoir une chance de survivre en tant qu’espèce mais également vivre dans un monde un peu moins dégueulasse.
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