Pourquoi le Véganisme est une façon extrêmement efficace et concrète de lutter pour l’environnement et l’animalité, mais insuffisant pour régler tous les problèmes de ce monde. Permaculture et Véganisme, doivent dialoguer et proposer leurs solutions complémentaires si on veut avoir une chance de survivre en tant qu’espèce mais également vivre dans un monde un peu moins dégueulasse.
La question de l’agriculture dans un monde végane est non pertinente pour choisir son comportement dans la situation actuelle, mais une agriculture végane serait d’ores et déjà possible et consommerait moins de ressources.
Mots clés : exploitation animale, engrais, traction animale, fertilisation, agriculture biovégétale
Cet article, paru suite au rapport du GIEC sur l’utilisation des sols, fait le point sur l’impact climatique de l’élevage, avec quelques données chiffrées. Il aborde l’impact carbone de l’élevage extensif, la comparaison par rapport à l’impact du transport, l’importance de prendre en compte l’opportunité de stockage perdue à cause de l’élevage et les estimations de gains de l’alimentation végétale
La supériorité environnementale de l’élevage extensif sur herbe par rapport à l’élevage hors-sol semble une évidence dans les milieux écologistes. Les prairies stockent-elles plus de carbone que les forêts ? Qu’en est-il vraiment ?
La production de viande et d’œufs nécessite plus d’eau que celle des légumineuses et des céréales.
L’élevage émet des quantités importantes de nitrates, phosphates et autres substances qui s’accumulent dans l’eau et provoquent la prolifération des algues vertes.
Cette émission revient sur les problèmes écologiques de la viande, en particulier ceux liés au soja, dont la production a doublé en vingt ans justement pour nourrir les animaux d’élevage (audio).
Mots-clefs: viande, soja, déforestation, climat.
L’exploitation irresponsable ou hasardeuse des terres, qui induit dégradation des sols et déforestation, menace à la fois la sécurité alimentaire, la biodiversité, le climat et la stabilité des sociétés. Deux études internationales dénoncent l’énorme part de responsabilité de l’élevage dans ces processus.
Vidéo en réponse à l’idée selon laquelle les véganes seraient les premiers responsables de la consommation de soja. Thématique : débouchés du soja en masse et en valeur économique ; dépendance de l’élevage au soja.
Pourquoi le véganisme est-il meilleur pour la planète que d’autres initiatives comme le locavorisme?
Mots-clés: pollution, écologie, élevage.
Un argument des défenseurs de l’élevage d’animaux de boucherie est que ces derniers transforment efficacement les végétaux non comestibles. Cet article montre qu’il existe d’autres alternatives pour valoriser tous les végétaux, pour l’alimentation (champignons), pour l’énergie (combustion directe, biocarburant), comme matériaux (papier, construction…), ou simplement laisser la place aux forêts.
Ce texte propose une réflexion sur les raisons écologiques pouvant mener à adopter une alimentation végétalienne, et sur quelques questions qu’un-e écologiste radical-e peut se poser au sujet de l’exploitation animale.
L’élevage consomme plus de nourriture qu’il n’en produit. Voilà une affirmation souvent soutenue par un chiffre : il faudrait 10 kg de végétaux pour produire 1 kg de viande. Mais est-ce si simple que ça ? C’est ce qu’on essaie de clarifier dans cette vidéo.
Analyse de l’année 2011 : Il existe une forte inégalité dans les disponibilités alimentaires entre les régions du monde. La part des produits d’origine animale dans les disponibilités alimentaires est très supérieure à la moyenne mondiale dans les pays développés. La France se situe parmi les pays où la disponibilité de produits d’origine animale dans l’alimentation est la plus forte.
Les viandes végétales et les viandes de culture présentent des avantages avérés ou prometteurs, en particulier en ce qui concerne la consommation d’eau et la libération de terres agricoles pour le stockage de carbone. En termes d’émissions de gaz à effet de serre, les produits végétaux les plus polluants rivalisent avec les alternatives animales les moins polluantes.
Contenu pédagogique et vidéos. Les conséquences de la production de viande et de lait sur l’environnement seraient plus importantes que les experts ne le pensaient.
Nos choix alimentaires peuvent avoir des impacts importants sur l’environnement. Ces impacts varient grandement selon si l’on choisit de mettre dans notre assiette des produits animaux ou des végétaux comme des légumineuses. Quels sont ces impacts? Peut-on faire de meilleurs choix pour réduire ces impacts? Mots clés : FAO, rendement agricole, efficacité
Vous avez peut-être déjà entendu que 70 % des surfaces agricoles sont dédiées aux animaux d’élevage. Mais qu’est-ce que ça veut dire au juste ? Que se passerait-il si tout le monde devenait vegan ? Thèmes : Vulgarisation scientifique, méthodes d’estimations, changement d’utilisation des surfaces, rotation des cultures
Outre les questions éthiques qu’elle soulève, la consommation de viande de poulet n’est pas sans conséquences sur l’environnement et la santé humaine : intoxications alimentaires, antibiorésistance, pollution atmosphérique ou encore déforestation sont inhérentes au mode d’élevage intensif de ces oiseaux.
Comparaison des impacts de l’élevage de différentes espèces et labels, en terme d’utilisation des ressources, de surface et de concurrence alimentaire. L’article précise quelques bénéfices apportés par certaines pratiques, tout en soulignant l’impact positif drastique d’une plus grande végétalisation de l’alimentation.
Vérification par Libération : Plusieurs études montrent qu’un régime carné a un impact carbone plus important qu’un régime végétarien ou végétalien. Mais l’origine et les conditions de production des produits alimentaires doivent aussi être prises en compte. Emissions de gaz à effet de serre ; Consommation d’eau ; Comparaison de repas types
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