Dystopie où tous les arguments carnistes sont justes. Effrayant. Nous qui pensions que leurs arguments étaient cons et qu’ils ne prenaient que des exemples extrêmes pour nous pousser à bout…
On me demande souvent si j’ai « le droit » de manger tel ou tel aliment. C’est un questionnement bien naturel, et je voudrais profiter de ce blog pour rappeler le fonctionnement général de cette grande religion pleine d’interdits qu’est le véganisme.
Peut-être le connaissez-vous : le fameux argument-massue de la souffrance des végétaux. Comment en effet trouver problématique le fait de manger de la viande lorsque l’on ose trucider des courgettes et des carottes à l’envi ?
Combat truqué et pervers La corrida n’est pas un combat loyal entre un homme et un animal, comme le disent les amateurs (aficionadeaux ou aficonados). C’est un combat truqué entre 6 hommes, professionnels de la manipulation animale, et un herbivore qui ne sait rien de tout cela.
Vous en rencontrerez de plus en plus. Parfois vous fréquenterez quelqu’un de longues périodes avant de vous rendre compte qu’il en est. Cela peut frapper votre famille, vos collègues ou votre partenaire de lit. Alors autant apprendre tout de suite comment vous comporter avec ces gens qui ne sont plus tout à fait comme vous.
1► Qu’est ce que la nature ? 2► Un référentiel moral non-pertinent 3► Spécisme et utilisation de l’APPEL A LA NATURE 4► Réfutation de l’APPEL A LA NATURE
Être opposé à l’exploitation et à l’oppression des « non-humains » n’a rien à voir avec le fait d’être « ami des animaux ». Des amis des animaux, il y en a treize à la douzaine. Les restaurants avec viande à « gogo » en sont pleins. Non, je n’aime pas particulièrement les animaux !
C’est un argument qui revient assez souvent pour rabattre le caquet des végétariens. Alors, Hitler végétarien: mythe ou réalité?
Le véganisme est-il une nouvelle religion? A force de penser que les vegans veulent « convertir » les omnivores, on peut se poser la question. Oui mais…
Contrairement à certains clichés, le végétalisme n’est pas une alimentation chère, nécessitant des produits exotiques coûteux et de grandes quantités de légumes. Sections : 1. Conseils basiques ; 2. Achetez au bon endroit ; 3. Substitutions ; 4. Est-il vrai que remplacer la viande par des produits végétaux coûte cher ? Mots clés : argent, pauvreté, richesse
Certains végétariens rechignent à l’idée de prendre des suppléments, et trois raisons sont généralement avancées. Tout d’abord, ce serait admettre que l’alimentation végétalienne serait intrinsèquement plus carencée que l’alimentation omnivore. La seconde raison est une réticence à l’idée de prendre des nutriments fabriqués en usine.
Une réflexion sur les pratiques d’élevage industriel déclenchée par une – nouvelle – vidéo cachée, et la défense de l’industrie. Par Élise Desaulniers
Mots-clés: vidéo cachée, vache, lait, élevage industriel.
Par Jean-Baptiste Del Amo. Réponse à l’argument de la bonne mort, de l’abattage avec respect, de l’abattoir à la ferme.
Soyons honnêtes, ça n’existe pas ! Même en élevage biologique et/ou de proximité, la vie des animaux d’élevage comporte son lot de souffrances et de traitements douloureux : par exemple, les poules et les poulets ont le bec coupé et les veaux sont séparés de leur mère.
Puisque manger les animaux est autorisé, choisir de les manger (ou pas) est bien une décision personnelle. Par contre, ce (ou ceux) qu’on choisit de mettre dans son assiette a des conséquences qui dépassent largement notre sphère personnelle, puisque ce n’est rien de moins que la vie des animaux qui est en jeu !
De plus en plus d’animaux dits « d’élevage » deviennent des compagnons : lapins, ânes, chevaux… Des animaux dans des refuges ou en semi-liberté pourraient mener une vie heureuse tout en contribuant à l’entretien des espaces boisés ou des pâturages qu’ils brouteraient.
Si nous arrêtions de manger les animaux, il suffirait d’arrêter de les faire naître dans le seul but de les engraisser pour les tuer et les manger. D’ailleurs, actuellement le nombre d’animaux d’élevage est plus élevé que jamais et ce pour répondre à la demande en produits animaux : viande, lait, œufs, laine, etc.
Il n’y a pas d’objection éthique à consommer un œuf que la poule a abandonné. Cependant, même si leurs œufs ne sont pas fécondés, certaines poules adorent couver : pourquoi les en priver ?
Tout comme il pourrait vous arriver d’user de la violence en cas de légitime défense, cela ne justifierait pas de le faire si vous n’êtes pas en danger. Certaines personnes ont aussi dû se résoudre à manger de la chair humaine pour survivre, comme ces rescapés d’un avion écrasé dans la cordillère des Andes.
Peu importe depuis combien de temps les humains consomment ou pas des produits animaux : ce qui compte, c’est qu’aujourd’hui nous avons la possibilité de nous en passer !
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