On rencontre de plus en plus de végan-e-s qui se disent abolitionnistes. Il suffit par exemple d’aller sur Facebook pour voir fleurir des dizaines de groupes de “veggies” qui se revendiquent abolitionnistes.
Le problème c’est que parmi toutes ces personnes, très peu le sont vraiment.
Pourquoi ?
Mots clés : Francione, welfarisme, réformes
Pourquoi les vaches exploitées pour leur lait ont une longévité moyenne que 5 ans alors que leur espérance de vie théorique en captivité est de 20 ans.
Article questionnant le bienfondé de la valeur donnée à la Nature et à la biodiversité, illustré par une anecdote historique autour d’une île de l’océan indien où des vaches ont évolué librement pendant un siècle avant d’êtres abattues au nom de la biodiversité.
Comment l’argument naturaliste, réactionnaire au changement, a joué en faveur de l’alcoolisme infantile lors des campagnes de promotion du lait de vache au début de la seconde moitié du vingtième siècle. Comment l’idée de Nature joue actuellement pour la conservation du spécisme et devrait être critiquée (et non adoptée) par les antispécistes.
Pourquoi le Véganisme est une façon extrêmement efficace et concrète de lutter pour l’environnement et l’animalité, mais insuffisant pour régler tous les problèmes de ce monde. Permaculture et Véganisme, doivent dialoguer et proposer leurs solutions complémentaires si on veut avoir une chance de survivre en tant qu’espèce mais également vivre dans un monde un peu moins dégueulasse.
Le véganisme est parfois décrit comme une mode, un régime alimentaire dangereux, une religion ou une lubie. D’un point de vue nutritionnel, que dit la science de ce caractère « nécessaire » ?
La force des preuves nous amène à conclure que les humains ne sont pas seuls à posséder les substrats neurologiques de la conscience. Des animaux non-humains, notamment l’ensemble des mammifères et des oiseaux ainsi que de nombreuses autres espèces telles que les pieuvres, possèdent également ces substrats neurologiques.
Du point de vue du véganisme, son statut soulève deux questions. D’une part, le fait même d’avoir un chat est-il moral ? D’autre part, que faut-il lui donner à manger (elle refuse régulièrement ma salade d’asperges au sésame, l’ingrate) ?
Chaque militante peut au cours de sa vie participer à la sensibilisation de dizaines de personnes, et éviter l’exploitation de milliers d’animaux. Cet article donne quelques pistes pour arriver à ce résultat.
Mots clés : actions concrètes pour les animaux
En Inde, la vache jouit d’un statut à part. Vénérée par les Hindous, il est interdit de la manger dans la plupart des états. Pourtant, est-elle bien traitée pour autant ?
On dénonce souvent, en tant qu’antispécistes, l’instrumentalisation médiatique des décès d’enfants imputés de façon tout à fait fallacieuse et abusive au végétalisme ou au véganisme. Il paraît souhaitable et juste, de la même façon, de ne pas instrumentaliser les décès provoqués par l’ingestion de produits d’origine animale dans la perspective de critiquer la consommation de ces derniers.
Certaines personnes affirment qu’il faudrait ou non consommer des produits d’origine animale parce que les êtres humains seraient « naturellement carnivores (ou omnivores) ou « naturellement végétariens ». Rapide mise au point
Ces visuels sont conçus pour être utilisés lors de manifestations ou de marches, en étant imprimés sur des pancartes. Mais ils peuvent aussi être utilisés comme autocollants, cartes postales, ou être exposés sur un stand, par exemple. Leur usage est libre et gratuit.
Tour d’horizon de la malhonnêteté intellectuelle du monde tauromachique : c’est la tradition ; il y a des causes plus importantes ; les taureaux de combat vont s’éteindre ; les taureaux sont bien traités avant l’arène ; anthropomorphisme ; l’agressivité est naturelle ; amateurs de corrida célèbres ; la souffrance n’est pas le but ; vous refusez la mort ; le Toro est honoré.
Lors des débats autour du spécisme, on voit régulièrement fleurir des arguments capacitistes pour défendre l’oppression des animaux non humains. Ces arguments, parce qu’ils permettent également de perpétuer un système de pensée défavorable aux personnes non valides, doivent être doublement dénoncés. Quelles sont les similitudes entre ces deux formes de discrimination ?
Florence Dellerie revient sur l’avis de l’Académie Royale de Médecine de Belgique (diffusé en mai 2019 sous le titre « Le véganisme proscrit pour les enfants, femmes enceintes et allaitantes »), qui se place à l’opposé de la littérature scientifique disponible sur la question.
Au travers de discussions avec les acteurs et les penseurs de l’éthique animale, Homo Herbivorus explore notre relation à la consommation de produits issus de l’exploitation animale. Interviews de grandes figures du mouvement animaliste francophone : Yves Bonnardel, Élise Desaulniers, Martin Gibert, Valery Giroux, Brigitte Gothière, Dominic Hofbauer, renan Larue, Elodie Vieille Blanchard, Ophélie Véron. 1h20.
La question de l’agriculture dans un monde végane est non pertinente pour choisir son comportement dans la situation actuelle, mais une agriculture végane serait d’ores et déjà possible et consommerait moins de ressources.
Mots clés : exploitation animale, engrais, traction animale, fertilisation, agriculture biovégétale
Jacy Reese du Sentience Institute appelle à passer d’une approche individuelle (changer les régimes alimentaires individuels un par un) à une approche institutionnelle, à cesser d’utiliser des stratégies de communication décrédibilisant le mouvement (animaux mignons, femmes sexualisées), à maintenir une orientation éthique lors de la promotion des technologies alimentaires alternatives.
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