Greenpeace appelle à une réduction planétaire de la consommation de viande et de produits laitiers de 50 % d’ici à 2050. Pour lutter contre les problèmes sanitaires et environnementaux engendrés par la production industrielle de viande et produits laitiers, Greenpeace réclame notamment une réorientation des subventions destinées à l’agriculture vers des modèles d’élevages écologiques.
En 2019, la volaille d’élevage représenterait 70 % de la masse des oiseaux de la planète. 75 % de l’alimentation mondiale reposerait sur 12 plantes et 5 espèces animales. 68 % de la production d’oeufs en France est issue de l’élevage en batterie. 60 % (en masse) des mammifères sont du bétail. +78 % de consommation de viande en 50 ans .
Article abordant la consommation d’eau des produits d’origine animale. Au programme : explication du concept d’empreinte eau et de ses limites, analyse de l’empreinte eau des produits d’origine animale, comparaison avec les végétaux, analyse de l’impact du régime alimentaire sur l’empreinte eau des pays.
Déforestation et agriculture engendrent environ 30% du total. Cela n’inclut pas les émissions ailleurs mais associées à la fonction alimentaire (camions servant au transport de nourriture, émissions de l’industrie pour fabriquer les emballages, pour fabriquer les tracteurs et les entrepôts, etc).
Arrêter l’élevage permettrait la repousse des forêts sur les prairies et les cultures qui nourrissent actuellement le bétail et évacuerait une partie du méthane de l’atmosphère. L’action conjointe du stockage de carbone dans le sol et de la réduction des émissions permettrait un article scientifique en libre accès de nullifier les émissions de gaz à effet de serre pendant 30 ans.
« Les politiques menées ont conduit à une surexploitation chronique des ressources marines et à un appauvrissement généralisé de la biodiversité », déplore le géographe Jean Chaussade.
Résumé sourcé des avantages et inconvénients du bio: meilleur goût, légèrement meilleur pour la santé, mauvais pour le climat par son occupation des sols, et enfin, un bilan incertain pour la biodiversité, les animaux élevés et les animaux sauvages. Pour l’auteur, le bio est surtout pénalisant car il renforce l’idée de nature et représente un mauvais investissement militant.
Cet épisode de Programme B revient sur les coût écologiques et humains de la viande, avec Geoffrey Le Guilcher (Steak Machine) et Nicolas Treich.
Mots-clefs: viande, écologie, abattoir, souffrance au travail.
Contenu pédagogique et vidéos. Les conséquences de la production de viande et de lait sur l’environnement seraient plus importantes que les experts ne le pensaient.
Depuis soixante-six millions d’années, notre planète n’a jamais perdu d’espèces animales à un rythme aussi rapide qu’aujourd’hui, et la responsable n’est autre que l’espèce humaine. Deux grands facteurs concourent à la destruction de la biodiversité : une prédation trop mal régulée des espèces sauvages ainsi que notre modèle agricole, basé sur l’élevage.
Article écrit par Martin Gibert à quelques mois de la COP21 pour s’interroger sur l’absence presque totale du végétarisme et véganisme des discours écologistes.
Mots-clés: climat, écologie, véganisme, pollution.
Le rôle des pâturages dans l’absorption du CO2 est largement surestimé par les défenseurs de l’élevage. Les lobbies de l’agroalimentaire insufflent une incertitude scientifique face à des rapports internationaux accablants, dans le but de défendre les « bénéfices des prairies » et les « atouts » d’un modèle agricole devenu obsolète.
Le fait de manger engendrerait des émissions de gaz à effet de serre ? Allons donc….. Et pourtant, le fait de manger pèse très lourd, en France, dans les émissions de gaz à effet de serre. Nous devons cela au fait que l’agriculture est responsable de l’essentiel des émissions pour les gaz à effet de serre autres que le CO2 : méthane et protoxyde d’azote.
Malgré l’absence de statistiques officielles sur le nombre de poissons capturés, est-il possible d’en effectuer une estimation à partir des tonnages de pêche communiqués par la FAO et d’autres données disponibles ? L’évaluation du nombre de poissons pêchés faisant partie du projet d’écriture de ce rapport, l’auteure s’est attelée à cette tâche dans ce qui suit.
Même ce que nous mangeons subirait les effets d’une telle taxe, mais ce n’est pas très étonnant quand on sait qu’en France la première source d’émissions est l’activité agricole : pour le bœuf et le mouton : environ 6 euros en plus par kg de carcasse chez le producteur (donc probablement jusqu’au double chez le boucher pour de la viande sans os) : adieu les steaks de 500 g….
Observations issues d’une lecture de l’Évaluation mondiale de la biodiversité et des services écosystémiques de l’IPBES. L’Iddri fait ici ressortir l’impact de la pêche et de l’élevage pointés par le rapport de mai 2019. Ce résumé de 4 pages propose également quelques actions.
Soixante pour cent des populations animales du monde ont été exterminées depuis 1970 et l’élevage est cité comme l’une des principales raisons à cela. Quelques chiffres sur les liens entre élevage et extinction des espèces.
Dans un rapport édifiant intitulé « Émissions impossibles » publié en juillet dernier, l’ONG GRAIN et l’IATP (Institut pour l’agriculture et la politique commerciale) dénoncent l’impact des plus grosses entreprises de viande et de produits laitiers sur le climat, et leur manque de transparence sur les émissions de gaz à effet de serre dont elles sont responsables.
Des chercheurs de l’Inra démontrent l’impact de la concurrence alimentaire des colonies d’abeilles domestiques sur les abeilles sauvages en milieu naturel. Ces travaux révèlent l’existence d’une zone d’influence autour de chaque rucher et peuvent être mis à profit pour organiser la cohabitation entre les différentes populations d’abeilles.
Article qui traite du lien entre consommation d’eau et impact écologique. Sujets traités : différences entre méthodes Water Fooprint Assessment et Analyse de Cycle de Vie, prise en compte de l’eau verte, importance de la prise en compte du stress hydrique, communication d’Interbev.
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