L’écart est tel que même si l’on parvenait à réduire à zéro le total de kilomètres imputables au transport de tous les aliments, l’impact sur le climat serait moindre que si un carnivore renonçait à manger de la viande une fois par semaine. Sources : Carnegie Mellon University à Pittsburgh, Pendos CO2, Öko-Institut et WWF Suisse
La question de l’agriculture dans un monde végane est non pertinente pour choisir son comportement dans la situation actuelle, mais une agriculture végane serait d’ores et déjà possible et consommerait moins de ressources.
Mots clés : exploitation animale, engrais, traction animale, fertilisation, agriculture biovégétale
Pourquoi le Véganisme est une façon extrêmement efficace et concrète de lutter pour l’environnement et l’animalité, mais insuffisant pour régler tous les problèmes de ce monde. Permaculture et Véganisme, doivent dialoguer et proposer leurs solutions complémentaires si on veut avoir une chance de survivre en tant qu’espèce mais également vivre dans un monde un peu moins dégueulasse.
Article de vulgarisation citant de nombreuses sources concluant (en apportant des nuances) qu’un régime végétalien est plus efficace qu’un régime locavore afin de réduire les impacts environnementaux dus à la nourriture.
Article abordant la consommation d’eau des produits d’origine animale. Au programme : explication du concept d’empreinte eau et de ses limites, analyse de l’empreinte eau des produits d’origine animale, comparaison avec les végétaux, analyse de l’impact du régime alimentaire sur l’empreinte eau des pays.
Une action bénéfique en soi peut-elle s’avérer néfaste si elle est trop mise en avant ? Cet article prend le cas du zéro déchet en comparant son efficacité pour la vie marine et le climat à la non consommation de poisson et au végétarisme. Trois contre-arguments et nuances sont aussi abordés.
Publié le 1er juin 2018 dans la revue Science, l’article de Poore et Nemecek, dresse tout d’abord le constat alarmant d’une chaîne d’approvisionnement alimentaire (production + post-traitement et distribution) aujourd’hui incroyablement consommatrice de ressources.
Statistiques autour de la consommation de soja dans le monde et en France. Au niveau mondial en 2019 seulement 6 % de la production de soja sert à l’alimentation humaine, entre 70 et 75 % sert à l’alimentation des animaux d’élevage et le reste, soit environ 20 %, sert à la production d’huile de soja dont une partie croissante entre dans la production d’agrocarburants.
Cet article traite de la séquestration de carbone dans les prairies : comment cela fonctionne, quel est l’influence des animaux (piétinement, déjections et broutage), quel est le potentiel et comment l’améliorer, quelles sont les limites.
Soixante pour cent des populations animales du monde ont été exterminées depuis 1970 et l’élevage est cité comme l’une des principales raisons à cela. Quelques chiffres sur les liens entre élevage et extinction des espèces.
Valéry Schollaert contredit l’idée selon laquelle le passage de l’élevage intensif à l’élevage extensif pourrait à lui seul régler les problèmes écologiques liés à l’élevage (biodiversité, climat) et au contraire pousserait à exploiter les dernières zones naturelles protégées terrestres. Il conclut dans la nécessité de diminuer la consommation, entre autre par l’augmentation des végétaliens.
Article de vulgarisation faisant le point sur la concurrence entre abeilles domestiques et abeilles sauvages, et le risque que fait porter l’apiculture sur la biodiversité et les 20 000 espèces d’abeilles autres que Apis mellifera.
Le rôle des pâturages dans l’absorption du CO2 est largement surestimé par les défenseurs de l’élevage. Les lobbies de l’agroalimentaire insufflent une incertitude scientifique face à des rapports internationaux accablants, dans le but de défendre les « bénéfices des prairies » et les « atouts » d’un modèle agricole devenu obsolète.
Article sourcé et avec quelques vidéos et infographies résumant plusieurs impacts négatifs de l’élevage sur l’environnement, les animaux et la santé. Sujets : Utilisation des territoires, émissions de gaz à effet de serre, biodiversité, ressource en eau, pollution de l’air, souffrance animale dans les élevages, viande cancérogène, non nécessité d’en manger.
L’élevage est il un moyen efficient d’utiliser les terres agricoles, et peut il contribuer à la sécurité alimentaire mondiale ? Cet article de vulgarisation compare entre autres les surfaces agricoles nécessaires pour nourrir une personne suivant son régime alimentaire et aborde la capacité de l’élevage à exploiter des ressources non valorisables directement par l’humain.
L’élevage intervient dans les cinq principaux mécanismes responsable de l’érosion de la biodiversité : modification des habitats, réchauffement climatique, invasions biologiques, sur-exploitation des espèces et pollution. Son rôle est variable dans chaque facteur mais souvent son impact se fait de manière directe et indirecte, renforçant ainsi les conséquences de sa présence.
Les viandes végétales et les viandes de culture présentent des avantages avérés ou prometteurs, en particulier en ce qui concerne la consommation d’eau et la libération de terres agricoles pour le stockage de carbone. En termes d’émissions de gaz à effet de serre, les produits végétaux les plus polluants rivalisent avec les alternatives animales les moins polluantes.
Vidéo en réponse à l’idée selon laquelle les véganes seraient les premiers responsables de la consommation de soja. Thématique : débouchés du soja en masse et en valeur économique ; dépendance de l’élevage au soja.
Selon un sondage Ipsos de 2021 et une étude d’opinion américaine, les consommateurs, et en particulier en France, évaluent très mal les impacts climatiques de leurs écogestes et de leurs choix alimentaires. Laurent Bègue-Shankland pointe la responsabilité des lobbies économiques, des biais des chercheurs favorables à l’élevage et de la mauvaise vulgarisation scientifique.
La supériorité environnementale de l’élevage extensif sur herbe par rapport à l’élevage hors-sol semble une évidence dans les milieux écologistes. Les prairies stockent-elles plus de carbone que les forêts ? Qu’en est-il vraiment ?
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