Récit d’anticipation décrivant un monde végane où le naturalisme et le suprémacisme humain ont été profondément remis en question, et le véganisme a fini par s’imposer par changement culturel, entre autre grâce à l’émergence de viandes obtenues sans meurtre.
Article d’anticipation exposant les risques environnementaux entrainés par l’élevage, ainsi que là où pourrait nous mener la continuation du mouvement animaliste, supporté par le renouvellement des générations.
Récit d’anticipation exposant les relations de compagnonnage et de travail avec les animaux dans un monde végane.
Une organisation britannique, VEDA, a mis au point une alternative, la ferme végétarienne ou « végéferme ». Le modèle de relations homme/animal qu’ils proposent est fondée sur la protection et l’entraide mutuelles et réduit au minimum la souffrance animale. Réponse : http://www.cahiers-antispecistes.org/lhomme-est-la-mesure-de-toutes-chose/
Mots clés : welfarisme niveau max, exploitation cool, zoopolis, production animale sans abattoirs
Faut-il laisser les animaux domestiqués se reproduire ? Doit-on viser à faire cité avec eux ? Valéry Giroux commente dans une perspective extinctionniste la théorie de la citoyenneté non humaine faite par Sue Donaldson et Will Kymlicka dans Zoopolis.
Quels mesures devraient être prises pour intégrer pleinement les animaux dans notre société? Leur accorder la sécu, le droit à la sociabilisation, au déplacement? Une réflexion dans la lignée du Zoopolis de Donaldson et Kymlicka.
Mots-clés: sécu, droits, société, politique, Zoopolis, Francione.
Certains animalistes soutiennent que toute forme de domestication doit être abolie en menant l’extinction des espèces domestiquée. Ce billet critique cette approche à partir de la théorie de la citoyenneté animale développée dans Zoopolis.
Mots-clés: abolitionnisme, extinctionnisme, domestication, Zoopolis.
L’agriculture végane est un mode de production agricole pratiqué sans aucun intrant d’origine animale, respectueux de l’environnement, qui cherche à être favorable aux animaux sauvages et à leur nuire le moins possible.
Ce premier chapitre situe les auteurs de Zoopolis et met en évidence les axes directeurs autour desquels s’articule leur réflexion. Après l’avoir lu, vous connaîtrez le squelette de l’ouvrage.
Donaldson et Kymlicka proposent d’évoluer vers des sociétés où les animaux domestiques seraient citoyens, c’est-à-dire membres à part entière d’une communauté politique, sur un pied d’égalité avec ses autres membres. Ceci implique un rejet franc de doctrines « du contrat »…
Donaldson et Kymlicka proposent pour les animaux sauvages un statut inspiré du principe de souveraineté des peuples. Dans ce chapitre, nous allons détailler de quoi il s’agit. Par « animaux sauvages » on entend les animaux qui vivent dans des espaces inhabités ou peu habités par les humains.
Dans ce chapitre, il sera question des animaux liminaux. Ceux-ci ont en commun avec les animaux sauvages de ne pas être membres des sociétés formées d’humains et d’animaux domestiques, au sens où ils ne sont pas partie prenante de l’ensemble des droits, obligations, normes, etc. qui associent étroitement les membres des communautés humanimales.
Zoopolis n’est pas un traité de philosophie politique, et encore moins un traité de philosophie éthique. Cependant, l’arrière-plan intellectuel des auteurs joue un rôle dans leur façon de raisonner. Ce chapitre a pour but de donner une idée de ce qu’est cet arrière-plan à l’aide d’éléments puisés dans des écrits antérieurs de Kymlicka.
La réflexion sur la citoyenneté animale est la composante la plus novatrice de l’approche politique des droits des animaux de Donaldson et Kymlicka. Dans ce dernier chapitre, nous allons y revenir de façon à mettre en lumière des compléments apportés par les auteurs dans des articles postérieurs à la parution de leur livre Zoopolis.
La façon dont les humains ont défini le langage et la politique a conduit à réduire les animaux au silence en tant que groupe politique. Dans ce texte, Eva Meijer expose les grandes lignes d’une théorie de la communication entre humains et animaux, basée notamment sur le concept de jeu de langage de Ludwig Wittgenstein.
Dans les sociétés humaines, les exemples d’utilisations inoffensives sont légion, que ce soit dans les transactions économiques ou d’autres formes d’échange, y compris s’agissant de produits corporels tels que le sang ou les cheveux. La question est de savoir à quel moment on bascule vers l’exploitation.
La question de l’agriculture dans un monde végane est non pertinente pour choisir son comportement dans la situation actuelle, mais une agriculture végane serait d’ores et déjà possible et consommerait moins de ressources.
Mots clés : exploitation animale, engrais, traction animale, fertilisation, agriculture biovégétale
Anne-Laure Thessard a conçu un scénario en trois étapes sur l’hypothèse d’une libération des « animaux de rente », avec la particularité d’envisager l’initiative des « carnivores éthiques » plutôt que des véganes. Cette fiction commence par la reconnaissance du problème de l’élevage industriel, passe par une éthique du chasseur pour finir par la création d’un animal non sentient appelé totipote.
Un café à chats de montréal est envisagé comme » une fenêtre sur une possible zoopolis ». L’étude cas permet de se « pencher sur trois aspects de la citoyenneté animale: la question de l’inclusion sociale, l’instauration des règles du vivre ensemble et le problème des conditions de travail ».
Le dressage, le travail ainsi que le statut légal de ces chiens donnent pourtant lieu à de sérieuses incohérences.
Mots clés : dressage, chien d’assistance, chien d’aveugle
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