Vidéo humoristique mettant en scène un communiquant d’Inverteb, parodiant la communication d’Interbev auprès des élus et des écoles, et émettant quelques critiques contre l’élevage (surconsommation, utilisation des ressources et territoires, manque de traçabilité, pratiques industrielles…).
Greenpeace dénonce dans un rapport de 150 pages les liens entre les défenseurs d’une alimentation carnée avec les milieux politiques, éducatifs ou médicaux, tentant de convaincre que l’élevage industriel n’existe pas ou encore que consommer moins de viande n’est pas nécessaire.
Nicolas Treich (Inra) consacre un document de travail à l’analyse économique du véganisme. Un bilan du marché est d’abord dressé, pour analyser ensuite les externalités négatives des produits d’origine animal. L’efficacité des stratégies des associations de protection animale pour sensibiliser l’opinion est ensuite discutée, pour terminer sur une réflexion prospective autour de trois scénarios.
L’Organisation mondiale du commerce (OMC) naquit des négociations de « l’Uruguay Round » entre pays membres du General Agreement on Tariffs and Trade (GATT). Elle fut créée en janvier 1995.
Mots clés : réglementation commerce international, capitalisme, mondialisation
Certains éleveurs lâchent leur activité au profit de la méthanisation, plus rémunératrice, subventionnée et avec un prix plancher garanti sur vingt ans. Dans d’autres exploitations, la méthanisation est devenue l’activité principale et encourage de nouvelles installations. L’optimisation de la production de biogaz concurrence aussi l’élevage pour l’utilisation des cultures intermédiaires.
Malgré une faible consommation per capita et une forte réprobation sociale de l’hippophagie, peu de pays consomment autant de viande chevaline que la France. Sections : Un commerce très mondialisé ; Commerce et consommation de cheval en France
Nos impôts servent à financer une industrie tournée vers l’export qui, certes, rapporte de l’argent, mais aux seuls grands acteurs agro‐alimentaires, plutôt qu’aux agriculteurs. Une agriculture lourdement subventionnée, des éleveurs sous‐payés, une surproduction structurelle… Comment comprendre l’économie du lait ? Par Élodie Vieille Blanchard
Aujourd’hui les animaux sont des marchandises et le marché est mondial. À des degrés divers, des législations nationales leur reconnaissent néanmoins des droits à être protégés contre certains abus. Il n’existe pas à ce jour d’accord régissant de façon claire ce que valent ces droits locaux lorsque les animaux deviennent objets de commerce international.
Les mesures de libéralisation des échanges dans le cadre du GATT puis de l’OMC constituent un frein au progrès du bien-être animal. En effet, si un pays impose des normes élevées de protection des animaux aux éleveurs nationaux, et que ces mesures ont un coût, cela les désavantage dans la concurrence internationale.
Les subventions maintiennent à flot les éleveurs et les grands céréaliers, dont la majorité de la production est dédiée à nourrir les élevages. 87% des éleveurs spécialisés dans la viande bovine et 65% des céréaliers et cultivateurs d’oléoprotéagineux n’auraient pas de revenus sans les subventions. Point par filière, pour l’année 2017.
Conséquences sur les animaux, écologiques et économiques du chalutage profond, illustré en BD par Pénélope Bagieu.
Dans le cas des études sur les troubles de l’attention, la recherche utilisant les animaux s’est révélée coûteuse et peu efficace.
Mots-clés: expérimentation animale, efficacité, troubles de l’attention.
Comment la communication publique d’Edward Bernays, au service de l’industrie du début du 20ième siècle, a réussi à imposer le bacon dans le petit déjeuner américain. Vidéo accompagnée de conseils pour le petit déjeuner.
Pour en savoir plus sur Jean-Michel Cohen, le nutritionniste le plus médiatisé en France, et ses conflits d’intérêts avec l’industrie agroalimentaire.
Dans Santé, mensonges et (toujours) propagande, Jérémy Anso détaille les stratégies des industriels de l’agro-alimentaire pour influencer les recommandations nutritionnelles. Mots clés : Lobby, lait, Cniel
Banalisation des fermes-usines et l’arrêt de mort de l’agriculture paysanne: les animaux seront les premières victimes du Tafta.
Mots clés : mondialisation, traité libre échange, commerce international
Notre surconsommation de viande et de produits laitiers, issus de l’élevage industriel, déstabilise les écosystèmes et la planète. 75 % des terres agricoles dans le monde servent à nourrir des bêtes qui serviront, ensuite, à nous nourrir. Notre mode de vie carnivore, réservé à une poignée de privilégiés, exerce une pression telle sur notre planète qu’il déstabilise les écosystèmes.
Point sur les ressources économiques de la chasse en France en 2019 : permis, cotisations, aides directes et indirectes, patrimoine.
je vous propose de regarder de plus près les conflits d’intérêts de 3 nutritionnistes régulièrement interviewés par les médias sur la question du végétalisme : le Dr. Jean-Michel Lecerf, le Dr. Jean-Michel Cohen et le Pr. Patrick Tounian.
Des rapports entre les subventions de l’Etat et l’industrie alimentaire, du lait en particulier, et des leviers que cela apporte aux citoyens.
Mots-clés: subventions, état, industrie alimentaire, lait.
Commentaires (1)