Xavier Gravelaine présente l’importance d’offrir aux élèves de terminale la possibilité de réfléchir au bien-fondé du spécisme en montrant des images de ce qu’endurent les animaux d’élevage. Ce professeur de philosophie récuse les accusations de prosélytisme et d’endoctrinement et décrit le phénomène de censure s’exerçant sur lui en défense de l’idéologie carniste.
Faut-il considérer que les animaux exploités par les humains sont des esclaves ? David Chauvet l’avait affirmé dans une vidéo. Cette position lui a attiré les foudres d’une partie de la communauté végane. Dans ce texte, il répond à ses critiques en montrant que le refus de cette assimilation des animaux à des esclaves est spéciste.…
En avril 2012, le New York Times lançait un challenge à ses lecteurs : « Dites-nous pourquoi il est éthique de manger de la viande ». Réponse du lauréat (en 600 mots) « Une chose est juste lorsqu’elle tend à préserver l’intégrité, la stabilité et la beauté de la communauté biotique.» et contre-argumentaire.
Réponse à la « Lettre ouverte aux mangeurs de viande qui souhaitent le rester sans culpabiliser » de Paul Ariès et à un article faisant sa promotion. Sections : production céréalière ; multinationales ; Soja et déforestation ; industrie ; transhumanisme ; intransigeance ; apprentis sorciers ; nazis ; violence militante ; apôtres de la destruction (Only One Solution)
Réponse à Paul Ariès et sa « journée 100% viande » rappelant ce qu’est l’antispécisme, que Singer n’en est pas le représentant officiel, qu’écologie et antispécisme peuvent être compatibles, que l’antispécisme peut être vu comme une prolongation de l’humanisme, qu’Hitler n’était pas végétarien, que l’antispécisme est historiquement et philosophiquement lié au libertarisme et à la lutte contre les oppressions.
Réponse point à point à Ariès, Porcher et Denhez et leur « journée mondiale de l’élevage paysan ». Sections : « Respect » de l’animal et santé ; L’élevage paysan comme sauveur du climat ; dilemme entre culture végétale intensive et élevage paysans ; monde sans animaux de ferme ; Capitalisme, manichéisme et homme de paille ; complotisme ; respect
Réponse du philosophe François Jaquet à l’interview de Jean-Pierre Digard « accusant l’homme de tous les maux, l’animalisme devient un spécisme antihumain » suite à la sortie de son livre « L’animalisme est un antihumanisme ».
Réponse à l’article « Manger in vitro et vivre sans les animaux, un projet inhumain ». Elodie Vieille-Blanchard y dénonce l’idée d’un élevage bénéfique aux animaux basé sur le « don » et le « contre don » et d’une agriculture cellulaire en tant que projet transhumaniste au service des multinationales, aboutissant à la disparition du lien entre humains et animaux.
En voulant accorder des droits aux animaux, les militants antispécistes seraient liberticides, incohérents et mépriseraient les hommes. Réponses point par point, par Yves Bonnardel et Thomas Lepeltier : les antispécistes voudraient donner les mêmes droits aux animaux qu’aux humains ; on ne peut avoir de droits sans devoirs ; l’antispécisme méprise les humains ; serait dangereux pour les animaux.
Vidéo répondant avec humour à Paul Ariès qui « accuse les végans de mentir sciemment », « de cacher leur véritable projet » de fin de la prédation en transformant génétiquement les lions, meurtre de bébé et d’handicapés, destruction de la nature et suicide collectif.
Paul Ariès a encore frappé, dans une tribune du Monde du 7 janvier : « J’accuse les véganes de mentir sciemment ». On attend quand même beaucoup, après ce titre généralisateur. Une réponse zététique avec humour à cette tribune. On y parle d’interventionnisme RWAS, d’humanisme, transhumanisme et nature.
Contre-argumentation du livre de Paul Ariès, « Lettre ouverte aux mangeurs de viande qui souhaitent le rester sans culpabiliser ». Thèmes : comparaison à Hitler, prise en compte des écosystèmes, critères éthiques anthropocentriques, détection de la sentience, tuer sans souffrance, humanisme, convergence des luttes, invariants anthropologiques, animaux tués dans l’agriculture, victimes végétales…
(Traduction de l’article de Corey Wrenn, avec son accord, « Why does PETA euthanize? ») PETA critique ce qu’ils appellent « la propagande « sans euthanasie ». Malheureusement, nous vivons dans un rêve – un cauchemar en réalité – dans lequel des organisations qui prétendent se battre pour les « droits » des animaux nonhumains tuent également des animaux nonhumains.
Dans une tribune publiée dans Libération, P. Ariès, F. Denhez et J. Porcher prétendent nous expliquer « pourquoi les végans (sic) ont tout faux. » Ce texte révèle une incompréhension profonde de ce que sont l’antispécisme et le véganisme. Mise au point.
Certaines personnes affirment qu’il faudrait ou non consommer des produits d’origine animale parce que les êtres humains seraient « naturellement carnivores (ou omnivores) ou « naturellement végétariens ». Rapide mise au point
L’Histoire naturelle du Comte de Buffon, intendant du jardin du Roi et naturaliste renommé, a pour projet de dresser l’état des connaissances sur «la Nature et les animaux». Ce projet est pleinement humaniste. Il vise à expliquer la place exceptionnelle de l’humanité au détriment des espèces sensibles non-humaines.
Compilation de textes et de récits d’attaques dénonçant un antispécisme capitaliste, légaliste et moraliste et réponse défendant un antispécisme anarchiste, anticapitaliste, illégaliste et amoral. Sections : Libérer les animaux de l’antispécisme [anti-abolitionnisme welfariste à la Porcher] ; Pour un antispécisme anarchiste et nihiliste ; Laissons le véganisme sur les rayons des bibliothèques…
Toi aussi tu te demandes pourquoi les Véganes passent leur temps à nous emmerder ? Que ce soit dans la rue, ou lors de nos repas de famille t’en auras toujours un ou une pour venir nous traiter d’assassin-e ou d’ordure sans nom !
L’antispécisme nie-t-il les différences existant entre les animaux et les humains comme l’affirme quelques-uns de ses opposants ? Florence Dellerie rappelle que loin d’affirmer que les êtres humains sont identiques aux autres animaux la pensée antispéciste revendique une égale considération des intérêts des êtres susceptibles de ressentir une nuisance.
Monsieur Phi explique ce qu’est le spécisme et répond à quelques tentatives de justifications philosophiques (favoritisme des proches, capacitisme, objections aux cas marginaux) avant de conclure sur la possibilité d’une catastrophe morale et l’asymétrie des coûts moraux en situation d’incertitude.
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