Dystopie où tous les arguments carnistes sont justes. Effrayant. Nous qui pensions que leurs arguments étaient cons et qu’ils ne prenaient que des exemples extrêmes pour nous pousser à bout…
Tout comme il pourrait vous arriver d’user de la violence en cas de légitime défense, cela ne justifierait pas de le faire si vous n’êtes pas en danger. Certaines personnes ont aussi dû se résoudre à manger de la chair humaine pour survivre, comme ces rescapés d’un avion écrasé dans la cordillère des Andes.
La torture, l’esclavage, les combats de gladiateurs sont ou furent autant de pratiques traditionnelles, culturellement ancrées et largement admises et qui furent ou sont remises en question et dépassées : qui aujourd’hui les jugeraient acceptables du seul fait de leur ancienneté ?
Dans le monde en 2008, environ 35 tonnes de vitamine B12 ont été produites. Cette quantité constitue six fois les besoins nutritionnels de la totalité de l’humanité. La plus grande part est en fait destinée à l’alimentation des animaux d’élevage.
Invité de Radio Brunet sur RMC le 20 avril , le chroniqueur gastronomique Périco Légasse a déclaré qu’il considère le véganisme comme un « fascisme alimentaire ». Mise au point par Sébastien Demange, spécialiste en médecine générale.
1► Qu’est ce que la nature ? 2► Un référentiel moral non-pertinent 3► Spécisme et utilisation de l’APPEL A LA NATURE 4► Réfutation de l’APPEL A LA NATURE
Réfutation d’un argument fallacieux: inutile d’être végane parce que l’on ne peut pas être végane à 100 %.
Mots-clés: véganisme, contre-argument.
Le bien-être animal est un positionnement marketing. Un animal maltraité produira peut-être une viande de moins bonne qualité mais le manque à gagner sera toujours moindre pour l’éleveur (transporteur, abatteur) que s’il lui fallait assurer un confort optimal de la naissance à l’abattage.
La première question qu’on me pose souvent lorsque je dis que je suis végétarienne est « où prends-tu tes protéines ?».Voici la réponse.
Mots-clés: protéines, nutrition, carences.
D’une part, cet argument constitue une généralisation abusive, puisque toutes les personnes antispécistes ne sont pas issues des mêmes milieux et ne vivent pas dans les mêmes conditions. D’autre part, cet argument n’est pas pertinent, car ce n’est pas la proximité avec “la nature” qui conditionne les considérations éthiques que nous sommes en mesure d’appliquer aux autres qui nous entourent.
Consommer de la viande rime avec émissions de gaz à effet de serre. Mais les émissions provenant de cultures ont été largement sous-estimées, révèle une nouvelle étude sur la qualité des sols. Défense de l’élevage sur prairies contre l’agriculture intensive.
Les généralisations abusives qui consistent à mettre toutes les formes d’élevage « dans le même panier » ; Les simplifications sur l’eau consommée, les gaz à effet de serre, la meilleure utilisation des sols ; Remplacer la consommation de viande par des substituts de viande tels que la viande artificielle ou les insectes
En portant à la connaissance du public des faits et des images (souvent choquantes) illustrant les pratiques de l’exploitation animale, il s’agit avant tout d’informer pour permettre un choix conscient et éclairé.
Les partisans des droits des animaux et plus largement les défenseurs de la cause animale sont souvent taxés d’anthropomorphisme. C’est un artifice permettant d’évacuer à peu de frais (au mépris de la biologie et de l’éthologie moderne) tout débat éthique de fond en niant a priori sensibilité et conscience des animaux non humains.
Controverse entre M. Gibert et C. Rioux dans les pages du Devoir. M. Gibert analyse la position du chroniqueur qui accuse les véganes de ne pas savoir voir le propre de l’Homme en termes de dissonance cognitive. Réponse de C. Rioux incluse.
Mots-clés: polémique, véganisme, racisme, dissonance cognitive.
L’antispécisme nie-t-il les différences existant entre les animaux et les humains comme l’affirme quelques-uns de ses opposants ? Florence Dellerie rappelle que loin d’affirmer que les êtres humains sont identiques aux autres animaux la pensée antispéciste revendique une égale considération des intérêts des êtres susceptibles de ressentir une nuisance.
Réponse à l’alerte du Dr Michel Cymes sur les liens entre végétarisme et dépression. Le 15 février dernier, sur l’antenne d’RTL, Michel Cymes a mis en avant une étude britannique qui, selon lui, montrerait « un risque accru de dépression chez les végétariens ».
On me demande souvent si j’ai « le droit » de manger tel ou tel aliment. C’est un questionnement bien naturel, et je voudrais profiter de ce blog pour rappeler le fonctionnement général de cette grande religion pleine d’interdits qu’est le véganisme.
Peu importe depuis combien de temps les humains consomment ou pas des produits animaux : ce qui compte, c’est qu’aujourd’hui nous avons la possibilité de nous en passer !
Comme tout mammifère, y compris l’humain, la vache doit mettre bas pour produire du lait. En temps normal, une vache produirait juste assez de lait pour nourrir son petit jusqu’au sevrage (4 litres par jour pendant quelques mois).
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