“Le problème de l’alimentation végétale, c’est que ce n’est pas local !” Les personnes qui (se) font cette réflexion considèrent donc que si l’on souhaite vraiment réduire l’empreinte carbone de notre assiette, la meilleure option serait d’avoir une alimentation locale omnivore.
L’auteur entreprend une réflexion stratégique globale pour que le véganisme devienne – rapidement et durablement – le mode de vie par défaut. Il s’agit d’identifier les étapes par lesquelles passerait l’avènement d’une société végane et de se pencher sur les moyens pour provoquer ces étapes plus efficacement et plus rapidement, en restant ouvert à la remise en cause.
L’élevage français est majoritairement intensif. Pourtant, c’est toujours l’élevage bovin et ses vaches et prairies bucoliques que la filière viande cherche à mettre en avant.
De nouvelles études montrent que la compassion n’est pas une ressource limitée. Le « whataboutisme » est une stratégie rhétorique consistant à dévier sur d’autres problèmes, destinée à paralyser et non à persuader. Mais il fonctionne parce qu’il joue sur une crainte réelle : que la compassion soit une ressource limitée, et le capital politique encore plus.
Comment les blessures physiques (poursuites et combats/ viols/ brûlures/ écrasements) affectent-elles les animaux sauvages?
Termes-clefs: souffrance animale, sauvage, blessures.
Critique de Torril, de Laurent Teyssier. Un film où le taureau est un simple outil rhétorique, et qui ment (comme d’autres films) sur la question de la souffrance animale pendant le tournage.
Mots-clef: film, animal, taureau, maltraitance.
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« Les personnes végé/véganes doivent se complémenter, contrairement au reste de la population” : est-ce vrai et pertinent ? Cette nécessité est souvent dénoncé en défaveur du végétalisme. Cependant la population des pays industrialisés est complémentée de diverses façons, souvent à son insu. Et c’est positif : cela permet de limiter ou d’éliminer certains problèmes de santé.
Chiffres clés de la zoophilie dans le monde, regroupés par Animal Cross en 2020 dans le cadre d’une vaste enquête intitulée « Les animaux, les nouveaux sex toys ».
Le parallèle toute proportion gardée, est juste souligné ici pour montrer les réactions quand on remet en cause un système de valeurs qui fondent notre façon d’être et notre moral.
En substance, je trouve dommage que des gens qui, au fond, ont le même objectif se tapent dessus. Ça aussi, c’est contre-productif. La viande, c’est mal, certes. Mais on ne changera pas les mentalités du jour au lendemain. Comprendre cela ne signifie pas abandonner ses principes moraux ou ralentir la lutte.
Pourquoi être ou avoir l’air moralisateur est un problème ? Tout simplement parce que la plupart des gens qui se sentent jugés seront probablement moins enclin à vous écouter et à changer. Personne (ou presque personne) n’apprécie quelqu’un qui juge.
Bébé vegan: quelles sont les précautions à prendre? Quels carences risque-t-il? Voici les principaux conseils à prendre en compte pour la santé d’un bébé vegan ou bébé végétarien.
La force des preuves nous amène à conclure que les humains ne sont pas seuls à posséder les substrats neurologiques de la conscience. Des animaux non-humains, notamment l’ensemble des mammifères et des oiseaux ainsi que de nombreuses autres espèces telles que les pieuvres, possèdent également ces substrats neurologiques.
Je tenais à vous dire par ce tract que c’est aussi avec des gants que je viens dans cette manifestation du premier mai, parce que j’y côtoie des gens comme vous qui vous dites « antifascistes », mais qui, comme 99% des habitants de ce pays, mangez les animaux.
Mots clés : Pureté morale, déshonneur par association, brevet de civilisation
Quand nous disons que tous les humains sont égaux, nous n’entendons pas en fait nous référer à une présumée égalité réelle, parce que les humains sont incontestablement différents. Le principe d’égalité des humains n’est pas la description d’une prétendue égalité réelle : il est une prescription sur comment les humains doivent être traités.
On le voit, ce n’est pas parce qu’une personne n’est pas à 100 % végane qu’elle ne fait pas avancer les choses. Selon une étude récente, 36 % des Américains se disent ouverts à l’alimentation végétale. Et c’est un changement qui sauve de façon directe la vie de nombreux animaux : pas moins de 400 millions rien que l’année dernière.
Se revendiquant de l’antispécisme, les véganes refusent toute exploitation animale. Or, pour l’auteur de cette tribune, l’antispécisme n’est en rien incompatible avec le fait d’élever et de manger des animaux, « le principal étant de vivre en harmonie avec son territoire et de se nourrir en conscience de ce qui fait sens ».
On peut légitimement dénoncer l’ambiguité/ l’hypocrisie des organisation de de défense des animaux sauvages qui se soucient du sort d’animaux individuels seulement quand ils sont sauvages et non domestiqués.
Mots-clés: animaux sauvages, domestiqués.
En réaction à la Veggie Pride de 2013 à Genève, Bertrand Cassegrain estime que les militants antiviande font fausse route en se positionnant comme victimes de «végéphobie».
Mots-clés: discrimination, végéphobie.
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