Traduction par vegan.fr de l’article « A Lot of People Are Angry with Me–and They are Right » écrit par Gary L. Francione et publié sur son blog.
Elles sont fâchées que je sois ce qu’elles appellent un « absolutiste » qui maintient que nous ne pouvons justifier *aucune* utilisation des animaux. Mots clés : Welfarisme, abolitionnisme, néowelfarisme, réformes
(Traduction de l’article de Rob Johnson, « The Role of Welfarism and New Welfarism in Manufacturing Consent for Animal Use.) L’analyse de Chomsky démontre la manière dont les médias et autres divertissements fabriquent du consentement. Pour l’éthique animale, il semblerait que le welfarisme tient rôle des médias, et le néo-welfarisme celui des divertissements.
Aucun mouvement puissant de libération animale n’a été à ce jour engendré à partir de « Libération Animale » de Peter Singer sur la scène politique. En cause : la complaisance envers le spécisme et envers le mouvement spéciste de défense animale de la part du promoteur historique de l’idée d’égalité animale, Peter Singer lui-même.
Point de vue anti-réformiste condamnant la dénonciation du festival de viande de chien de Yulin. Sections : La manière dont les chiens sont tués est-elle pertinente ? ; Le fait que ce soit des animaux de compagnie est-il pertinent ? ; Comment militer contre pourrait être une mauvaise chose ? ; Que devrait-on plutôt faire ?
(Traduction de l’essai de Dan Cudahy, « On Cruelty Videos ») Le message abolitionniste ne dépend d’aucune façon de la manière dont les animaux sont traités ; seulement le fait qu’ils soient utilisés, et que toutes ces utilisations sont pour un plaisir, un amusement ou un divertissement dispensable. Dans le doute, il est mieux d’éviter ce genre de vidéos.
On rencontre de plus en plus de végan-e-s qui se disent abolitionnistes. Il suffit par exemple d’aller sur Facebook pour voir fleurir des dizaines de groupes de “veggies” qui se revendiquent abolitionnistes.
Le problème c’est que parmi toutes ces personnes, très peu le sont vraiment.
Pourquoi ?
Mots clés : Francione, welfarisme, réformes
Sections : « Une société plus aimable peut créer une société plus sensible au véganisme » “L’abolitionnisme est fondamentaliste” “Les campagnes ciblées peuvent fonctionner et aider l’éducation végane.” “Division, division, division…” “L’éducation végane est une approche tout-ou-rien ” etc.
Le but de cette Déclaration Universelle des Droits de l’Animal crée par la Ligue Française des Droits de l’Animal (LFDA) est peut-être simplement d’occuper le terrain, et de laisser croire que les droits de l’animal sont une question de bien être avant mise à mort. Notre but à nous est ici de rétablir le sens de quelques mots.
Gary Francione propose d’imaginer comme les choses seraient différentes si il existait un mouvement animaliste qui : (1) était concentré sur l’usage et non le traitement; (2) faisait la promotion du véganisme en tant qu’impératif moral; et (3) ne promouvait pas les réformes (et n’en tirait pas de bénéfices financiers).
(Traduction de l’essai de Dan Cudahy et d’Angel Flinn, « Making a Killing with Animal Welfare Reform ») Bien que ces programmes puissent à première vue sembler offrir une plus grande protection aux animaux, il est douloureusement évident qu’ils sont conçus comme campagne de relation publique (quoique très intelligente) pour augmenter les ventes, en rendant le consommateur plus à l’aise.
Les réformes de bien-être mènent-elles à une dynamique ou un enlisement vis-à-vis de futurs progrès ?
Mots clés : Sentience Institute, welfarisme, réformisme, abolitionnisme
(Traduction de l’article de Rob Johnson, « The Freedom to be prejudice ») Pourquoi la liberté d’expression est importante, mais aussi pourquoi les abolitionnistes (anti-réformistes) ne devraient pas provoquer le débat public avec les spéciste et ou les néowelfaristes.
« Je chercherai à démontrer pourquoi il est utile d’adapter son approche à son public et aux circonstances, et problématique d’appeler à ne pas le faire. »
Réponse à un argumentaire abolitionniste fondamentaliste (anti-réformes).
SAUVAAAGE expose pourquoi le réformisme semble stratégique pour faire avancer la cause animale dans l’opinion publique et dans les textes de lois, avec pour objectif l’abolition l’exploitation animale. Mots clés : appel à la vertu, réformisme, welfarisme, libération
(Traduction de l’article de Corey Wrenn, « Compassion Over Killing and Quorn collaborate, nonhuman animals lose ») Assurément, une disponibilité et une présence accrue de produits vegan est bénéfique pour notre mouvement. Cependant, nous avons plusieurs entreprises entièrement vegan déjà en activité. Il est troublant que COK persiste à collaborer avec des exploitants d’animaux nonhumains.
Lorsque nous préconisons un changement de régime alimentaire individuel, devrions-nous mettre l’accent sur le réductarisme ou le véganisme ?
Mots clés : Sentience Institute, flexitarisme, végétarisme, véganisme
(Traduction de l’article « The confused Vegan » d’Emmy) Témoignage d’une personne végane qui ne comprenait pas l’intérêt des campagnes sectorielles ou réformistes et a été soulagée de découvrir Francione et sa stratégie abolitionniste.
Dans cet article, j’explique pourquoi les réformes de bien-être sont importantes, et pourquoi s’y opposer fait plus de tort que de bien.
(Traduction de l’essai de Dan Cudahy, « Are Anti-Cruelty Campaigns Really Effective? ») Les efforts d’un nombre incalculable d’individus sont dispersés à travers un nombre incalculable de campagnes ciblées différentes.Il semble clairement qu’une telle division parmi les défenseurs des animaux fasse fortement le jeu de l’industrie animale…
En substance, je trouve dommage que des gens qui, au fond, ont le même objectif se tapent dessus. Ça aussi, c’est contre-productif. La viande, c’est mal, certes. Mais on ne changera pas les mentalités du jour au lendemain. Comprendre cela ne signifie pas abandonner ses principes moraux ou ralentir la lutte.
Commentaires (0)