je vous propose de regarder de plus près les conflits d’intérêts de 3 nutritionnistes régulièrement interviewés par les médias sur la question du végétalisme : le Dr. Jean-Michel Lecerf, le Dr. Jean-Michel Cohen et le Pr. Patrick Tounian.
A partir de quel âge sait-on si on est végane ou carniste ? Est-ce qu’on choisit ce que l’on considère comme bien ou mal ? Qui impose quoi et à qui ?
Début de réponse avec cette chronique.
Catégories nutritionnelles obsolètes, approximations voire désinformation (soja), le PNNS présente des biais évidents tendant à imposer le modèle alimentaire dominant au profit des industries agroalimentaires (filières viande et laitière).
Le 25 février dernier, France 5 a diffusé un reportage alarmiste, « Soja : la grande invasion ». Le Dr Sébastien Demange, médecin généraliste, a vérifié les affirmations de ce reportage. Petit florilège d’allégations justes, fausses, incomplètes ou biaisées.
Selon la croyance populaire, la diète végétarienne causerait des carences alimentaires, au point où ceux qui l’adoptent risqueraient de développer certaines maladies, voire des troubles mentaux, comme la dépression. Plusieurs études se sont penchées sur ce lien. L’une d’entre elles, qui a récemment fait le tour des médias internationaux, a intrigué le Détecteur de rumeurs.
Pour en savoir plus sur Jean-Michel Cohen, le nutritionniste le plus médiatisé en France, et ses conflits d’intérêts avec l’industrie agroalimentaire.
Sur l’article d’une nouvelle étude « choc » réalisée par des chercheurs de l’Université de Graz (en Autriche), qui, selon les rapports des journalistes, « balaierait » l’idée d’une bonne santé des végétariens.
Invité de Radio Brunet sur RMC le 20 avril , le chroniqueur gastronomique Périco Légasse a déclaré qu’il considère le véganisme comme un « fascisme alimentaire ». Mise au point par Sébastien Demange, spécialiste en médecine générale.
Thèmes abordés : Les sportifs ont besoin de plus de protéines (vrai) ; Les protéines ne se trouvent que dans la viande (faux) ; Les protéines végétales sont incomplètes (faux) ; Les protéines végétales sont de moins bonne qualité (faux) ; Il faut forcément associer céréales et légumineuses pour avoir une protéine complète (faux).
Réponse d’E. Desaulniers à une nutritionniste tenante du régime « paléo ».
Mots-clés: paléo, nutrition, véganisme.
A quoi servent les protéines et à quel point en avons-nous besoin ? Les végétariens en manquent-ils ? Où trouver des protéines végétales ? Qualité des protéines végétales, digestibilité et besoins en acides aminés. Le mythe de la complémentarité.
Le 17 novembre 2018, dans l’émission « RTL en pleine forme », le Dr Frédéric Saldmann explique « comment être vegan doit être une discipline et exige une vraie connaissance de la nutrition au risque de mettre sa santé en danger. » Réponse.
L’engagement animaliste va donc de pair avec le véganisme. Cela peut toutefois faire peur : « régime sans », « effet de mode », dérive « religieuse » ou « sectaire »… Qu’en est-il vraiment ?
Le véganisme est parfois décrit comme une mode, un régime alimentaire dangereux, une religion ou une lubie. D’un point de vue nutritionnel, que dit la science de ce caractère « nécessaire » ?
Florence Dellerie revient sur l’avis de l’Académie Royale de Médecine de Belgique (diffusé en mai 2019 sous le titre « Le véganisme proscrit pour les enfants, femmes enceintes et allaitantes »), qui se place à l’opposé de la littérature scientifique disponible sur la question.
Réponse à l’alerte du Dr Michel Cymes sur les liens entre végétarisme et dépression. Le 15 février dernier, sur l’antenne d’RTL, Michel Cymes a mis en avant une étude britannique qui, selon lui, montrerait « un risque accru de dépression chez les végétariens ».
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