L’humain est une espèce très égocentrique. Nous oublions souvent que nous partageons cette planète avec des millions d’autres créatures. Nous nous vantons d’être uniques, alors qu’un nombre croissant d’études révèlent que les autres animaux sont comme nous – ou du moins plus similaires qu’on pourrait le croire. Voici un aperçu des découvertes les plus fascinantes.
La force des preuves nous amène à conclure que les humains ne sont pas seuls à posséder les substrats neurologiques de la conscience. Des animaux non-humains, notamment l’ensemble des mammifères et des oiseaux ainsi que de nombreuses autres espèces telles que les pieuvres, possèdent également ces substrats neurologiques.
Ce cochon est en fait une truie, et on suppose qu’après avoir donné naissance à une multitude de petits cochons elle n’était plus bonne à rien. Ne sachant qu’en faire ils me l’ont apportée. Je l’ai donc accueillie et la vie lui était agréable auprès des poules, chèvres, oies… Chaque fois qu’elle me voyait, elle accourait pour recevoir des caresses.
À l’initiative de la Ligue Française des Droits de l’Animal, s’est tenu le 11 mars 2000 un colloque sur le thème « Éthique et invertébrés ». Le colloque s’est ouvert sur une communication de Suzanne Antoine (juriste) faisant la synthèse des textes français et européens régissant l’expérimentation animale, dont il ressort qu’aucune loi ou règlement ne protège les invertébrés.
Il s’agit en fait d’un livre qui rassemble une quantité d’histoires vraies dont les protagonistes sont des animaux, pour la plupart non humains : éléphants, certes, mais aussi singes, lions, girafes, rats, chevaux, chiens, ours, agneaux, etc. Ces récits tristes, drôles ou émouvants, illustrent l’intensité et la diversité de leur vie émotionnelle.
L’histoire particulièrement émouvante relatée ci-dessous par une vétérinaire américaine, nous montre qu’une vache a vécu un dilemme cornélien : choisir entre deux veaux afin d’en sauver un.
Si on analyse uniquement la pêche en termes de « durabilité » ou d’équité dans l’accès aux « ressources » halieutiques, on oublie d’intégrer une dimension majeure dans l’évaluation de cette activité. Les mers, lacs et cours d’eau sont hérissés de pièges humains qui conduisent à la mort des dizaines (centaines) de milliards d’animaux chaque année.
Introduction à l’éthologie dans le cadre de l’antispécisme. « Pourquoi est-il aujourd’hui important de se pencher sur la vie mentale et sociale des animaux ? Pourquoi est-il urgent de se demander quelles sont leurs capacités subjectives, que ressentent-ils, dans quelles situations sont-ils heureux ou malheureux, quelle intelligence ont-ils de ce qui leur arrive, de quelle façon interviennent-ils sur leur environnement ? »
Découvrez l’univers épatant des moutons grâce à notre page éthologie qui leur est consacrée.
Sections : Grégaire, et alors ? ; Mâles, femelles et spectacles de séduction ; Une subtile organisation démocratique ; Des aptitudes intellectuelles stupéfiantes ; Ouvrir des portes et prendre la fuite
Découvrez l’univers épatant des vaches grâce à notre page éthologie qui leur est consacrée. Sections : Des animaux très sociaux ; La douleur des mères
Découvrez l’intelligence des poissons grâce à notre page éthologie qui leur est consacrée.
Mots clés : émotion, souffrance, douleur, mémoire
Sections : Histoire ; Morphologie et physiologie ; Univers sensoriel ; Vie sociale ; Mémoire ; Intelligence « machiavélienne » ; Le test du miroir ; Les cochons héroïques ; Les cochons nageurs
On entend par culture l’ensemble des « acquis » (savoirs ou comportements) que les individus (humains ou non humains) sont capables de transmettre aux autres, processus qu’on appelle l’apprentissage social.
Sections : Innovation et transmission ; Dialectes et traditions ; Enseignement ; Civilité des éléphants
Résistance animale : Il aurait pu s’agir d’un conte né de l’imaginaire de Charles Perrault, mais non, ce récit est bien réel. Un bouc semble avoir guidé des dizaines d’animaux hors de l’enclos d’un marché aux bestiaux d’une petite ville américaine.
Les biographies proposées par Éric Baratay se distinguent des œuvres antécédentes (1) par la méthode scientifique, le refus (autant que possible) de l’anthropomorphisme et de l’anthropocentrisme : ses récits se basent sur des faits réels, recoupent de nombreuses sources historiques, et l’auteur n’invente pas s’il vient à manquer d’informations.
L’alimentation et les prédateurs ne sont pas les uniques sujets de conversation des poules. Il se pourrait qu’elles parlent également de nous. En observant ses dix poules dans leur enclos, Caughey mène de sérieuses études scientifiques et fait d’importantes découvertes. Ses poules lui ont inventé un nom. Cela ressemble à ça : « Ba-BA-Ba-BAAAA ! ».
Petit tour d’horizon par Jonathan Balcombe, Docteur en éthologie et Directeur de la sentience animale chez Humane Society Institute for Science and Policy (Etats-Unis).
De récentes et nombreuses découvertes scientifiques attestent que les animaux sont beaucoup plus intelligents qu’on ne le croyait. « Les animaux pensent-ils ? », réalisé en 2012, révèle quelques-unes des dernières découvertes concernant les aptitudes cognitives des animaux. Quelques exemples.
Communiqué de presse du 29 juillet 2013 de l’Université de Vienne sur les performances cognitives des cacatoès.
Il faut à la langue française un mot qui évoque à la fois la conscience, le ressenti et les émotions des animaux. Le terme anglais « sentience » qui dit tout cela mérite d’entrer au dictionnaire.
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