Découvrez l’intelligence des poissons grâce à notre page éthologie qui leur est consacrée.
Mots clés : émotion, souffrance, douleur, mémoire
Les êtres dépourvus de système nerveux central ne sont pas sentients. Cela comprend également les bactéries, les archaebactéries, les protistes, les champignons, les plantes et certains animaux. Il est possible qu’un certain nombre d’animaux dotés d’un système nerveux central extrêmement simple ne soient pas non plus sentients. Liste des éléments menant à cette conclusion.
Résistance animale : Il aurait pu s’agir d’un conte né de l’imaginaire de Charles Perrault, mais non, ce récit est bien réel. Un bouc semble avoir guidé des dizaines d’animaux hors de l’enclos d’un marché aux bestiaux d’une petite ville américaine.
L’histoire particulièrement émouvante relatée ci-dessous par une vétérinaire américaine, nous montre qu’une vache a vécu un dilemme cornélien : choisir entre deux veaux afin d’en sauver un.
Qu’il ne conceptualise pas sa mort comme la fin d’une série d’événements conçus comme sa vie n’a aucune pertinence quand à savoir s’il est éthiquement acceptable de mettre à mort un être sensible et conscient hors de toute nécessité.
Les biographies proposées par Éric Baratay se distinguent des œuvres antécédentes (1) par la méthode scientifique, le refus (autant que possible) de l’anthropomorphisme et de l’anthropocentrisme : ses récits se basent sur des faits réels, recoupent de nombreuses sources historiques, et l’auteur n’invente pas s’il vient à manquer d’informations.
Un grand nombre de zoologistes, éthologues et biologistes pense que la culture n’est pas le propre de l’espèce humaine. Bien au contraire, des variations comportementales ont été observées chez des espèces de primates et d’oiseaux et suggèrent donc l’existence d’une transmission culturelle chez un certain nombre de vertébrés.
Si on analyse uniquement la pêche en termes de « durabilité » ou d’équité dans l’accès aux « ressources » halieutiques, on oublie d’intégrer une dimension majeure dans l’évaluation de cette activité. Les mers, lacs et cours d’eau sont hérissés de pièges humains qui conduisent à la mort des dizaines (centaines) de milliards d’animaux chaque année.
Parce que le milieu aquatique où ils évoluent nous est étranger et que leurs moyens de communication échappent à nos sens, parce que leur apparence physique diffère tant de la nôtre, beaucoup d’humains ne reconnaissent pas aux poissons un caractère sensible.
Entretien avec le primatologue, expliquant pourquoi une étreinte entre un humain et une chimpanzé mourante qui se connaissaient depuis 40 ans a inspiré son livre « La dernière étreinte. Le monde fabuleux des émotions animales… et ce qu’il révèle de nous ». Il oppose à l’accusation d’anthropomorphisme celle d’anthropodéni : le refus de voir les similarités entre les humains et les autres animaux.
La force des preuves nous amène à conclure que les humains ne sont pas seuls à posséder les substrats neurologiques de la conscience. Des animaux non-humains, notamment l’ensemble des mammifères et des oiseaux ainsi que de nombreuses autres espèces telles que les pieuvres, possèdent également ces substrats neurologiques.
L’alimentation et les prédateurs ne sont pas les uniques sujets de conversation des poules. Il se pourrait qu’elles parlent également de nous. En observant ses dix poules dans leur enclos, Caughey mène de sérieuses études scientifiques et fait d’importantes découvertes. Ses poules lui ont inventé un nom. Cela ressemble à ça : « Ba-BA-Ba-BAAAA ! ».
Introduction à l’éthologie dans le cadre de l’antispécisme. « Pourquoi est-il aujourd’hui important de se pencher sur la vie mentale et sociale des animaux ? Pourquoi est-il urgent de se demander quelles sont leurs capacités subjectives, que ressentent-ils, dans quelles situations sont-ils heureux ou malheureux, quelle intelligence ont-ils de ce qui leur arrive, de quelle façon interviennent-ils sur leur environnement ? »
À l’initiative de la Ligue Française des Droits de l’Animal, s’est tenu le 11 mars 2000 un colloque sur le thème « Éthique et invertébrés ». Le colloque s’est ouvert sur une communication de Suzanne Antoine (juriste) faisant la synthèse des textes français et européens régissant l’expérimentation animale, dont il ressort qu’aucune loi ou règlement ne protège les invertébrés.
Petit tour d’horizon par Jonathan Balcombe, Docteur en éthologie et Directeur de la sentience animale chez Humane Society Institute for Science and Policy (Etats-Unis).
Découvrez l’univers épatant des moutons grâce à notre page éthologie qui leur est consacrée.
Sections : Grégaire, et alors ? ; Mâles, femelles et spectacles de séduction ; Une subtile organisation démocratique ; Des aptitudes intellectuelles stupéfiantes ; Ouvrir des portes et prendre la fuite
La question de la souffrance potentielle ressentie par les crustacés s’invite aujourd’hui de plus en plus dans les débats. Bien qu’un consensus prévale encore aujourd’hui sur la souffrance que peuvent ressentir les crustacés, des études démontrent qu’ils ne sont pas insensibles à la douleur, sont capables de mémoriser cette mauvaise expérience et d’agir ensuite en conséquence.
Il s’agit en fait d’un livre qui rassemble une quantité d’histoires vraies dont les protagonistes sont des animaux, pour la plupart non humains : éléphants, certes, mais aussi singes, lions, girafes, rats, chevaux, chiens, ours, agneaux, etc. Ces récits tristes, drôles ou émouvants, illustrent l’intensité et la diversité de leur vie émotionnelle.
De récentes et nombreuses découvertes scientifiques attestent que les animaux sont beaucoup plus intelligents qu’on ne le croyait. « Les animaux pensent-ils ? », réalisé en 2012, révèle quelques-unes des dernières découvertes concernant les aptitudes cognitives des animaux. Quelques exemples.
Découvrez l’univers épatant des vaches grâce à notre page éthologie qui leur est consacrée. Sections : Des animaux très sociaux ; La douleur des mères
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