Du poulet nourri au grain et élevé en liberté au Québec, ça veut dire quoi ?
Mots-clés: poules, poulets, exploitation, élevage.
L’équipe de conso globe a écrit aujourd’hui un article à propos d’abattoir respectueux de l’animal, de son bien être et limitant la souffrance au maximum, voici ma réaction à chaud à la lecture de cet article. Pourquoi objectifier un animal est un problème au delà de sa souffrance.
Certaines personnes affirment qu’il faudrait ou non consommer des produits d’origine animale parce que les êtres humains seraient « naturellement carnivores (ou omnivores) ou « naturellement végétariens ». Rapide mise au point
Trois chercheurs en biologie et en sciences agronomiques argumentent sur le fait que l’antispécisme ne soit pas un bon moyen pour préserver les équilibres des écosystèmes, car trop peu convaincant. Il reviennent en particulier sur la sensibilité de tous les organismes vivants, sur la difficulté à détecter et mesurer la sentience, et sur l’interdépendance des organismes dans un écosystème.
Qu’il s’agisse d’un élevage label rouge, d’un élevage biologique ou d’un élevage en batterie : les produits laitiers et les œufs éthiques n’existent pas.
En rappelant que l’agriculture végétale tue elle aussi beaucoup d’animaux, Nicolas Romillac parvient à la conclusion que la consommation de ruminant élevés exclusivement à l’herbe serait un moindre mal comparée à une alimentation exclusivement végétale.
Quel est le problème avec la corrida et autres courses de taureaux ? 1 – Une pratique éthiquement injustifiable ; 2 – Non, ce n’est pas un “combat de boxe” ; 3 – N’est-ce pas mieux que l’abattoir ? ; 4 – Sans corrida et sans course de taureaux, l’espèce va s’éteindre, non ?
Le système alimentaire est une source de pollution atmosphérique via les émissions d’ammoniac qui génèrent des particules fines et la création d’ozone au niveau du sol. Cet article de 2022 estime qu’en 2030, l’élevage sera responsable de 80-84% des émissions d’ammoniac et de méthane liées à l’alimentation. Le véganisme épargnerait 236 000 vies humaines par an et 1,1% du PIB mondial.
On me demande souvent si j’ai « le droit » de manger tel ou tel aliment. C’est un questionnement bien naturel, et je voudrais profiter de ce blog pour rappeler le fonctionnement général de cette grande religion pleine d’interdits qu’est le véganisme.
Bien que Gary Francione ait écrit quelques livres -qui ont leurs qualités- il s’est surtout fait connaître en critiquant les organisations animalistes. Il n’y a virtuellement aucune organisation, à ses yeux, qui semble apporter un quelconque bénéfice aux animaux. On pourrait se demander : y a-t-il quoi que ce soit d’attirant dans ce message ?
L’analyse de l’acide méthylmalonique est conseillée aux personnes qui présentent une aversion pour la complémentation en vitamine B12
Quel végétarien ou omnivore, en rencontrant un végétalien, n’a pas déclaré une fois « le fromage, je pourrais jamais m’en passer »? On le sait, dans notre coin du monde, le fromage est un aliment roi: rien qu’en Suisse, la consommation par habitant de fromage animal durant l’année 2014 était de 21,37 kilos 1! Habitude, tradition et facilité d’ingestion – on achète, on déballe, on mange – expliquent son succès. Mais peut-être une autre raison se cache dans notre « addiction » générale au fromage.
Cesser de manger de la viande ? Non, vraiment non. Je réalisais bien la souffrance animale engendrée par une telle alimentation, mon alimentation. Mais abandonner la viande m’apparaissait terriblement difficile. Passionnée par les arts culinaires, exiler la viande de mes repas m’effrayait. Je m’imaginais être contrainte de vivre dans un désert gastronomique.
Depuis longtemps j’ai souvent hasardé l’hypothèse selon laquelle parmi les gens relativement nombreux qui ne mangent pas de viande en invoquant la santé, l’écologie, etc., c’est-à-dire toutes les raisons autres que les animaux, il y en avaient beaucoup dont la vraie motivation, inavouée y compris à eux-mêmes, était le refus de participer au meurtre.
Lettre d’opinion écrite à l’occasion de la sortie, au Québec, d’un manifeste justifiant l’extension du statut juridique de personne aux animaux.
Mots-clés: statut juridique, loi, personne.
Définition par l’asso PEA. Le spécisme est l’idéologie qui considère que la vie et les intérêts des animaux peuvent être méprisés simplement parce qu’ils sont d’une autre espèce.
Partant de l’accusation de sectarisme fréquemment formulée contre les véganes, le magazine Versus propose d' »accompagner la contre-culture végane de manière ouverte, inclusive, et la plus respectueuse possible des personnes ».
Mots-clés: contre-culture, secte, véganisme.
Brève histoire du mot « végane » depuis sa création à ses différente version francophones.
La filière animale canadienne est incapable de s’adapter aux nouvelles exigences (éthique, santé, environnement) des consommateurs, ce qui la rend économiquement aberrante.
Mots-clés: économie, filière agro-alimentaire, offre, demande.
Les baisses du nombre d’emplois dans l’élevage sont dues entre autres à l’organisation même du marché, à la rationalisation des méthodes d’élevage et aux progrès technologiques. On ne peut pas l’imputer au travail des associations de protection animale.
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