Allégorie sur l’exploitation animale : Cela avait commencé classiquement, lorsqu’on s’était rendu compte que le sang de bébé fraîchement décapité avait des propriétés médicinales. Le problème de la surpopulation avait aidé à faire avaler la pilule au début, et bien vite on avait reconnu la nécessité de décapiter les bébés pour faire d’une pierre deux coups (de hache).
Conséquences sur les animaux, écologiques et économiques du chalutage profond, illustré en BD par Pénélope Bagieu.
Maillon essentiel de nos fragiles écosystèmes, régulateur indispensable des populations animales et humaines, le chasseur est victime d’une injuste défiance. Partons ensemble à la découverte de ce héros incompris.
Mais j’ai un problème avec les causes dont la visibilité n’est assurée que par une seule personne ou un seul groupe. Le PS n’est pas la gauche, Daesh n’est pas l’islam, Mario n’est pas les jeux vidéos et Aymeric Caron n’est pas l’antispécisme.
Aujourd’hui je dézingue l’argument du cri de la carotte, tu sais, celui qu’on te sors chaque fois que tu parles de la souffrance des animaux non-humains et qu’on te traite d’hypocrite parce que toi tu fais souffrir plus de plantes qu’iels?
Mots-clés: cri de la carotte, argument, réfutation.
Peut-être le connaissez-vous : le fameux argument-massue de la souffrance des végétaux. Comment en effet trouver problématique le fait de manger de la viande lorsque l’on ose trucider des courgettes et des carottes à l’envi ?
C’est un argument qui revient assez souvent pour rabattre le caquet des végétariens. Alors, Hitler végétarien: mythe ou réalité?
Je me suis dit qu’il serait bon de parler ici de la différence entre deux théories d’importance, celle de Peter Singer et celle de Tom Regan. Le premier est un philosophe utilitariste australien, connu notamment pour son livre La libération animale. Le second est philosophe aussi, américain, et a publié Les droits des animaux.
Une des Belles Histoires du Père Tofu : Depuis quelques années, la santé de Youpi Con Carne, entreprise spécialisée dans la carnisation de l’alimentation, périclitait. L’équipe marketing avait identifié deux raisons à cela : un nom complètement ringard, et la montée en puissance des alternatives végétales aux produits carnés.
En substance, je trouve dommage que des gens qui, au fond, ont le même objectif se tapent dessus. Ça aussi, c’est contre-productif. La viande, c’est mal, certes. Mais on ne changera pas les mentalités du jour au lendemain. Comprendre cela ne signifie pas abandonner ses principes moraux ou ralentir la lutte.
On me demande souvent si j’ai « le droit » de manger tel ou tel aliment. C’est un questionnement bien naturel, et je voudrais profiter de ce blog pour rappeler le fonctionnement général de cette grande religion pleine d’interdits qu’est le véganisme.
Une des Belles Histoires du Père Tofu : Vous avez choisi de passer vos vacances chez nous, et nous vous en remercions. Vous en aurez pour votre argent : ici, on végète à rien faire. Voici quelques règles et recommandations…
J’aimerais aujourd’hui parler de ce que l’on appelle le spécisme. Et du coup, je vais le faire, parce que c’est mon blog.
Ce n’est pas un terme que l’on croise souvent si l’on ne s’intéresse pas à la cause animale. Pourtant, c’est très simple. Le spécisme est aux espèces ce que le sexisme est aux genres ou le racisme aux origines ethniques (pour info, on dit encore race en anglais).
15 illustrations antispécistes inversant le rapport de force entre l’humain et l’animal. Les humains deviennent les opprimés, les animaux les oppresseurs.
Certaines tribus africaines ont des rites expiatoires visant à demander pardon à l’animal tué. Le dénominateur commun est qu’eux comme moi savaient qu’au fond, il y avait un problème moral au fait de tuer et manger un animal.
Une des Belles histoires du Père Tofu : Peu de gens le savent, mais à côté des tombeaux de Voltaire et de Rousseau, au Panthéon, se trouve celui d’un personnage singulier, qui gagnerait à être connu. Un grand amoureux des Lettres et des Sciences. Et, surtout, un hippopotame…
Une question m’est souvent posée par les gens que je rencontre : « qu’est-ce que tu manges alors ? ».
Il est à mon avis tout à fait légitime de s’interroger sur l’alimentation d’un végétalien lorsque l’on vit dans une société où tout le repas tourne plus ou moins autour de la viande, du beurre et du fromage.
Découvrez l’univers épatant des moutons grâce à notre page éthologie qui leur est consacrée.
Sections : Grégaire, et alors ? ; Mâles, femelles et spectacles de séduction ; Une subtile organisation démocratique ; Des aptitudes intellectuelles stupéfiantes ; Ouvrir des portes et prendre la fuite
L’omnivorisme et le spécisme sont la norme, et cela signifie que les efforts à fournir pour sortir de cet état de fait ne peuvent pas être du même type que lorsqu’il s’agit de luttes concernant des sujets plus « consensuels ».
Une des Belles histoires du Père Tofu : Il y a 66 millions d’années, les herbivores étaient souvent tournés en ridicule par les carnivores, qui se prenaient pour les rois de la Terre. Mais certains herbivores ne l’entendaient pas de cette oreille, et commencèrent à militer pour que les carnivores changent leur alimentation
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