Vidéo humoristique mettant en scène un communiquant d’Inverteb, parodiant la communication d’Interbev auprès des élus et des écoles, et émettant quelques critiques contre l’élevage (surconsommation, utilisation des ressources et territoires, manque de traçabilité, pratiques industrielles…).
L’entrefilet en question est d’un zoologue et anthropologue du nom de Jean-Pierre Digard qui ne me lira sans doute jamais donc je suis super courageux. Je me suis prêté à cet exercice de debunkage.
Il semblerait qu’il y ait une loi spécifique en vigueur : « Plus une organisation obtient des résultats pour les animaux, plus la probabilité que des militants la critiquent s’approche de 100%. » Ben oui, elle n’a pas encore obtenu la libération animale, c’est donc une asso welfariste qui veut juste agrandir les cages.
Disclaimer : il est possible qu’après cette vidéo, votre vision des poissons change drastiquement 🙂 Par Sébastien Moro, auteur de « Les paupières des poissons », voyage scientifique et humoristique à travers le monde de nos cousins aquatiques.
Nous ne sommes pas que des humains, nous faisons tous partie de milliards de catégories, dont celle d’êtres sensibles. Et c’est cette catégorie qui devrait être privilégiée dans nos rapports à la viande. Redéfinir le « nous ».
L’humour militant est une arme redoutable : il crée une pression sociale sur nos adversaires politiques, par peur du ridicule, et discrédite leurs arguments. Alors ne cherchons pas à rire de la majorité qui mangent des animaux, rions plutôt avec eux des piètres militants que sont les anti-véganes et de leurs arguments les plus foireux !
Je vous propose de retrouver les trois premières histoires que j’ai publiées dans le magazine de l’Association végétarienne de France, Alternatives végétariennes.
Autant le dire tout de suite, je me fiche complètement de choquer. Je ne considère pas qu’il faille protéger la sensibilité des gens si cela signifie mettre fin à l’exploitation animale. Ce n’est donc pas cela qui me gène. En revanche, je me pose la question de l’efficacité de ces campagnes : n’est-ce pas parfois inutile, voire contre-productif ?
Après avoir préparé une conférence sur le sujet en septembre, et avoir mobilisé plus de 200 études sur un mois. Cette première partie traite – des perceptions sensorielles – de la vie de la ruche – de la navigation spatiale – de la communication
Le carnisme est un terme créé (dans ce contexte en tout cas) par la psychologue sociale américaine Melanie Joy. On retrouve beaucoup ce terme dans le « milieu » vegan, parfois utilisé à tort et à travers, à bon escient ou pas.
Vous cherchez le moyen de réduire l’impact positif que vous créez en faveur des animaux en étant végane ? Ne cherchez plus ! Rendez-vous à la toute première Conférence pour un Militantisme Négatif pour les Animaux. Cet événement permettra d’aiguiser finement les aptitudes à la critique de ceux qui sont toujours là pour dire du mal des bonnes nouvelles.
Vidéo répondant avec humour à Paul Ariès qui « accuse les végans de mentir sciemment », « de cacher leur véritable projet » de fin de la prédation en transformant génétiquement les lions, meurtre de bébé et d’handicapés, destruction de la nature et suicide collectif.
Quand je vois des végétariens se faire insulter sur des forums parce que ce sont, pour résumer, des traîtres, des faibles, ou des nazis, cela me désole. Il est important de montrer que nous sommes des gens ouverts, sympas, et emplis d’empathie.
Mots clés : police végane, végémou, abolitionniste, welfariste
Cette vidéo se base sur le discours de certains antispécistes promoteurs du mouvement RWAS (Reducing Wild Animals Suffering). Ces personnes exposent leur point de vue dans des conférences, des vidéos, des articles et des posts sur les réseaux sociaux. Leur pensée est évidemment caricaturée ici. Sources en commentaires sous la vidéo.
D’après une enquête Ifop de novembre dernier, 82% des Français seraient favorables à ce que la chasse soit interdite le dimanche, 78% à la reconnaissance d’être vivant et sensible pour tous les animaux sauvages (et 100% de la science, qui n’a pas attendu l’Ifop), 84% sont contre la chasse à courre, et 89% contre la chasse aux trophées. Pourquoi cette farouche opposition à la chasse de la part d’une si grande partie de la population ?
Que cela soit bien clair : aucun critère rationnel ne peut justifier le fait que l’on ne mange pas de chien ou de chaton si l’on mange du bœuf ou de l’agneau.
Conférence sur comment une poule perçoit le monde, quelle sont ses capacités sensorielles et cognitives, comment vit-elle en société.
Allégorie sur l’exploitation animale : Cela avait commencé classiquement, lorsqu’on s’était rendu compte que le sang de bébé fraîchement décapité avait des propriétés médicinales. Le problème de la surpopulation avait aidé à faire avaler la pilule au début, et bien vite on avait reconnu la nécessité de décapiter les bébés pour faire d’une pierre deux coups (de hache).
Conséquences sur les animaux, écologiques et économiques du chalutage profond, illustré en BD par Pénélope Bagieu.
Maillon essentiel de nos fragiles écosystèmes, régulateur indispensable des populations animales et humaines, le chasseur est victime d’une injuste défiance. Partons ensemble à la découverte de ce héros incompris.
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