En rappelant que l’agriculture végétale tue elle aussi beaucoup d’animaux, Nicolas Romillac parvient à la conclusion que la consommation de ruminant élevés exclusivement à l’herbe serait un moindre mal comparée à une alimentation exclusivement végétale.
Cet article de Valéry Giroux discute de l’objection au boycott végane selon laquelle nos choix alimentaires individuels ne pourraient pas épargner d’animaux à cause d’effets de seuil ou de la distance causale entre choix du consommateur et choix du producteur. Le véganisme serait justifié aussi bien par l’existence de contributions causales directes et indirectes qu’en l’absence de celles-ci.
Arguments contre l’équitation. Données physiologiques et considérations éthiques. Sections : Est-ce que tout le monde n’est pas exploité d’une certaine manière ? Qu’en est-il des chiens et chats ? Et si je suis vraiment gentil avec mon cheval ? Les chevaux ont besoin d’exercice. Les chevaux adorent. Donc nous sommes censés faire quoi ? Les dommages à la colonne.
Même dans le contexte d’un restaurant omnivore, nous avons différentes façons de séparer le végane du non-végane. Jusqu’à quel point devrions-nous séparer et identifier les plats véganes ?
Cet article liste explique comment l’agriculture végétale tue aussi des animaux, comment il serait possible de limiter ses victimes et pourquoi l’élevage en tue encore plus. Malgré son imperfection, le véganisme est utile pour inciter à la prise en compte des animaux d’élevage, étape essentielle avant que la société s’intéresse aux morts par moisson.
Le militant Tobias Leenaert, coutumier des expériences de pensée polémiques, propose celle-ci lors de ses conférences : en tant que végétarien(ne) ou végane, accepteriez-vous de manger un steak en échange de la somme d’1 million d’euros ?
Mot clé : pureté végane
Diplôme de véganisme, pression sur les « pas assez véganes », pureté végane et autres sont au menu de la terrible « police végane » qui patrouille sur internet.
Le flexitarisme, un bel effort à saluer ou une mascarade ? Pour mieux comprendre ce phénomène et ce qu’il représente, nous avons demandé à différents acteurs de la cause animale quel regard ils portent sur cette pratique alimentaire, qui consiste à être végéta*ienne ou végéta*ien à temps partiel.
Liste des magasins physiques et en ligne où acheter la vitamine B12 en France métropolitaine et outre mer, Belgique, Suisse, USA, Madagascar, Royaume Unis,…
Le vég*isme, c’est un outil, ni plus ni moins. Ce n’est pas un idéal, ce n’est pas une fin en soi. C’est un outil nous permettant de réduire au maximum (ou d’essayer de le faire) notre impact négatif sur les êtres sensibles. Or, pas mal de gens se concentrent sur l’outil plus que sur le but, ce qui est est dommage, et parfois dommageable.
Cet article rassemble une liste d’arguments pour et contre la démarche militante visant à changer les individus (plutôt que les institutions et/ou la culture). Cette stratégie est appelée « stratégie véganiste », surtout lorsque le changement visé est une modification du comportement de consommation. La plupart de ces arguments sont inspirés d’un article du Sentience Institute.
Nicolas Treich (Inra) consacre un document de travail à l’analyse économique du véganisme. Un bilan du marché est d’abord dressé, pour analyser ensuite les externalités négatives des produits d’origine animal. L’efficacité des stratégies des associations de protection animale pour sensibiliser l’opinion est ensuite discutée, pour terminer sur une réflexion prospective autour de trois scénarios.
1. Jouer les autruches 2. Tenter de la ralentir ou de la stopper. 3. « Innovation traditionnelle » 4. Développer des alternatives pour la viande es les produits laitiers 5. Les entrées dans le capital de sociétés spécialisées dans le végétal 6. L’acquisition d’une société spécialiste du végétal 7. La transformation complète en une entreprise spécialisée dans le végétal
Devenir végane implique de respecter certaines règles. Mais s’engager à les respecter signifie-t-il qu’on ne doit tolérer aucune exception, tant pour soi-même que pour les autres ? Pourquoi, dans certaines situations, manger végétarien et pourquoi se considérer donc comme « flexible » ?
Fiches de Florence Dellerie sur les problèmes engendrés par la production de cuire et de laine, et liste des différents produits animaux qu’on peut trouver dans les vêtements et accessoires.
L’exemple de l’abattoir de Limoges (lanceur d’alerte zoophage) et celui du Faux Gras (substitut contenant 1% de truffe trouvé par un cochon) diffèrent sur bien des points. Mais je pense qu’ils illustrent tous les deux assez bien pourquoi, dans certains cas, une approche dogmatique du véganisme [pureté végane] peut faire plus de tort que de bien.
Je me rappelle, il y a plus de quinze ans, avoir demandé aux végétariens et aux véganes ce qu’ils feraient si jamais McDonald’s créait un burger végane. Mots clés : boycott, anti-capitalisme, simili-carnés
Une source de vitamine B12 fiable, c’est ce qui permet de prévenir ou de guérir une carence en vitamine B12 à coup sûr. Tous les compléments fabriqués à partir de cyanocobalamine fonctionnent à 100 %. Cette vitamine B12 a l’avantage d’être stable, peu coûteuse et son origine est bactérienne.
D’accord, la Police végane est du genre ennuyante et centrée sur elle-même, mais est-ce qu’elle fait vraiment du tort à la cause des animaux. Je pense que c’est résolument le cas.
Mot clé : pureté végane
Entrevue accordée à Guillaume Lamy, pour les Publications universitaires, expliquant en profondeur le véganisme. Valéry Giroux y parle entre autres des raisons éthiques, des aspects culturels, de psychologie, de l’impact du véganisme.
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