Le militant Tobias Leenaert, coutumier des expériences de pensée polémiques, propose celle-ci lors de ses conférences : en tant que végétarien(ne) ou végane, accepteriez-vous de manger un steak en échange de la somme d’1 million d’euros ?
Mot clé : pureté végane
Même dans le contexte d’un restaurant omnivore, nous avons différentes façons de séparer le végane du non-végane. Jusqu’à quel point devrions-nous séparer et identifier les plats véganes ?
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Une source de vitamine B12 fiable, c’est ce qui permet de prévenir ou de guérir une carence en vitamine B12 à coup sûr. Tous les compléments fabriqués à partir de cyanocobalamine fonctionnent à 100 %. Cette vitamine B12 a l’avantage d’être stable, peu coûteuse et son origine est bactérienne.
Le vég*isme, c’est un outil, ni plus ni moins. Ce n’est pas un idéal, ce n’est pas une fin en soi. C’est un outil nous permettant de réduire au maximum (ou d’essayer de le faire) notre impact négatif sur les êtres sensibles. Or, pas mal de gens se concentrent sur l’outil plus que sur le but, ce qui est est dommage, et parfois dommageable.
Entrevue accordée à Guillaume Lamy, pour les Publications universitaires, expliquant en profondeur le véganisme. Valéry Giroux y parle entre autres des raisons éthiques, des aspects culturels, de psychologie, de l’impact du véganisme.
Devenir végane implique de respecter certaines règles. Mais s’engager à les respecter signifie-t-il qu’on ne doit tolérer aucune exception, tant pour soi-même que pour les autres ? Pourquoi, dans certaines situations, manger végétarien et pourquoi se considérer donc comme « flexible » ?
Diplôme de véganisme, pression sur les « pas assez véganes », pureté végane et autres sont au menu de la terrible « police végane » qui patrouille sur internet.
Cet article liste explique comment l’agriculture végétale tue aussi des animaux, comment il serait possible de limiter ses victimes et pourquoi l’élevage en tue encore plus. Malgré son imperfection, le véganisme est utile pour inciter à la prise en compte des animaux d’élevage, étape essentielle avant que la société s’intéresse aux morts par moisson.
Refuser de consommer des produits d’origine animale en public montre l’exemple et participer aux grandes études nutritionnelles change le monde. En épargnant les animaux, les véganes réduisent également le nombre de leurs victimes parmi l’ensemble des règnes. Pourquoi tuer plus ?
D’accord, la Police végane est du genre ennuyante et centrée sur elle-même, mais est-ce qu’elle fait vraiment du tort à la cause des animaux. Je pense que c’est résolument le cas.
Mot clé : pureté végane
Je suggère simplement une approche à double face : faire augmenter à la fois le nombre de véganes et le nombre de personnes réduisant leur consommation de viande.
Cet article rassemble une liste d’arguments pour et contre la démarche militante visant à changer les individus (plutôt que les institutions et/ou la culture). Cette stratégie est appelée « stratégie véganiste », surtout lorsque le changement visé est une modification du comportement de consommation. La plupart de ces arguments sont inspirés d’un article du Sentience Institute.
En rappelant que l’agriculture végétale tue elle aussi beaucoup d’animaux, Nicolas Romillac parvient à la conclusion que la consommation de ruminant élevés exclusivement à l’herbe serait un moindre mal comparée à une alimentation exclusivement végétale.
Utilisons notre bon sens et essayons d’imaginer ce qui se passerait si la communauté végane locale décidait de boycotter et/ou d’appeler au boycott de cette initiative, et qu’elle arrivait à ses fins. [Spoiler : c’est pas une bonne idée]
L’exemple de l’abattoir de Limoges (lanceur d’alerte zoophage) et celui du Faux Gras (substitut contenant 1% de truffe trouvé par un cochon) diffèrent sur bien des points. Mais je pense qu’ils illustrent tous les deux assez bien pourquoi, dans certains cas, une approche dogmatique du véganisme [pureté végane] peut faire plus de tort que de bien.
Nicolas Treich (Inra) consacre un document de travail à l’analyse économique du véganisme. Un bilan du marché est d’abord dressé, pour analyser ensuite les externalités négatives des produits d’origine animal. L’efficacité des stratégies des associations de protection animale pour sensibiliser l’opinion est ensuite discutée, pour terminer sur une réflexion prospective autour de trois scénarios.
Entretien croisé entre la philosophe Irène Pereira et la sociologue Sandrine Dubuisson-Quellier : les choix individuels et le changement de consommation peuvent-ils vraiment aider à construire un modèle de société pour l’avenir ? Point de vue extérieur sur la stratégie véganiste.
Les personnes qui ont pris la décision de ne plus consommer de produits issus de l’utilisation d’animaux, mais qui ne ressentent pas le besoin de militer activement montrent aux omnivores qu’on peut être un(e) végane épanoui(e) sans pour autant devenir obligatoirement un(e) activiste de la cause animale. C’est salutaire.
Arguments contre l’équitation. Données physiologiques et considérations éthiques. Sections : Est-ce que tout le monde n’est pas exploité d’une certaine manière ? Qu’en est-il des chiens et chats ? Et si je suis vraiment gentil avec mon cheval ? Les chevaux ont besoin d’exercice. Les chevaux adorent. Donc nous sommes censés faire quoi ? Les dommages à la colonne.
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