Dans 99,98 % ces cas, la corrida se finit par le massacre des taureaux. Mais il arrive de façon rarissime que le tauréreau n’en sorte pas vainqueur. De dramatiques accidents peuvent intervenir et mettre fin au simulacre avant l’heure prévue.
L’usage massif des antibiotiques pour les animaux d’élevage contribue à l’émergence d’une résistance aux antibiotiques pour les êtres humains.
Le modèle alimentaire occidental épuise les ressources planétaires au détriment des pays du Sud. Les choix que nous faisons ici restreignent drastiquement ceux des habitants de l’autre hémisphère. Manger végétarien est aussi un acte de solidarité.
Rien ne prédisposait ce journaliste à, un jour, manier le couteau dans un abattoir. Mais Geoffrey Le Guilcher voulait comprendre qui étaient ces hommes “en combinaisons tachées de sang”, ceux qui tiennent les couteaux et ôtent la vie des bêtes avec violence pour que nous puissions manger leur viande.
L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et l’Agence européenne de sécurité sanitaire des aliments (EFSA) ont tous deux réaffirmé le danger du développement de la résistance des bactéries aux antibiotiques, et la part de responsabilité considérable de l’élevage d’animaux pour la consommation alimentaire.
Etre végane pour les humains: l’argument du véganisme contre la faim dans le monde.
Mots-clés: véganisme, faim, famine.
Les baisses du nombre d’emplois dans l’élevage sont dues entre autres à l’organisation même du marché, à la rationalisation des méthodes d’élevage et aux progrès technologiques. On ne peut pas l’imputer au travail des associations de protection animale.
Dans les élevages cunicoles, les antibiotiques et les médicaments sont utilisés en quantité.
Outre les questions éthiques qu’elle soulève, la consommation de viande de poulet n’est pas sans conséquences sur l’environnement et la santé humaine : intoxications alimentaires, antibiorésistance, pollution atmosphérique ou encore déforestation sont inhérentes au mode d’élevage intensif de ces oiseaux.
Plus du tiers de la production mondiale de poisson (en tonnage) est destinée à l’exportation (38% en équivalent poids vif en 2010). Une part croissante de la consommation de poisson des pays développés est couverte par des importations en provenance des pays en développement.
L’élevage est responsable du déclenchement d’épizooties (ESB, grippe aviaire, etc.). L’usage massif d’antibiotiques dans les élevages contribue grandement à l’apparition de souches bactériennes résistantes. La surconsommation de produits animaux est mauvaise pour la santé. D’un point de vue nutritionnel, il faudrait diviser par deux (au moins) notre consommation de produits d’origine animale.
Près de 800 millions d’humains souffrent de malnutrition. 2/3 des terres agricoles dans le monde sont consacrées à l’élevage ou à la production d’aliments pour le bétail. Si les pays riches et émergents divisaient par deux leur consommation de viande, au moins 2,2 millions d’enfants échapperaient à la malnutrition chronique.
Il me dit avoir jeté son pistolet, et avoir juré aux responsables de la prison, aussi fort qu’il en était capable, qu’ils pouvaient faire ce qu’ils voulaient de lui, que « CETTE VACHE NE VA PAS MOURIR ! »
Il termina en me disant qu’il était maintenant végétarien.
Témoignage poignant d’un ex aficionado.
La delphinothérapie est devenue un business lucratif ces dernières années et représente une menace sérieuse pour le bien-être des dauphins car elle engendre une augmentation des captures, du commerce et de l’élevage en captivité de dauphins dans le monde.
Mots clés : dauphins, cétacés, delphinothérapie, charlatanisme
La résistance aux antimicrobiens pourrait causer 10 millions de décès par an d’ici 2050. La plupart des résistances aux antibiotiques en médecine humaine sont en fait dues à l’utilisation humaine d’antibiotiques. Cependant, on estime que 66 % de tous les antibiotiques utilisés sont administrés aux animaux d’élevage.
Chacun a le droit de travailler dans un environnement sain mentalement. Mais l’industrie de la viande accorde vraisemblablement peu d’importance à ce droit. A 17 ans, je pensais que les végétariens faisaient l’erreur de négliger la souffrance humaine. Mais en réalité, c’est tout l’inverse.
«Qui n’aime pas les animaux n’aime pas les gens.» La maxime n’est peut-être pas dénuée de sens: maltraitance animale et actes violents envers ses semblables semblent effectivement liés. Laurent Bègue-Shankland retrace l’histoire du lien entre les violences sur les humains et sur les autres animaux, puis donne quelques résultats d’études plus récentes.
Selon cet article de Thierry Soucar, extrait de « Prévenir et guérir la grippe », le principal responsable de l’émergence de nouveaux virus mortels de la grippe est aussi le principal responsable des grandes pandémies qui de la Mésopotamie à l’empire Aztèque ont anéanti des pans entiers de l’humanité : l’homme et ses pratiques d’élevage.
Pourtant déconseillée à dose systématique et régulière pour l’homme, la délivrance d’antibiotiques aux animaux d’élevage est encore fortement pratiquée. Point sur la situation en France.
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