Les animaux ont-ils des droits? Ont-ils un statut moral? Notre responsabilité vis-à-vis d’autrui s’arrête-t-elle soudain aux frontières de notre propre espèce? Jusqu’où tenir compte de tous les individus capables de souffrir?
L’éthique animale peut s’appuyer sur différentes traditions éthiques. Aujourd’hui: l’éthique de la vertu.
Mots-clés: éthique animale, vertu.
Les arguments contre le spécisme.
Mots-clés: spécisme, arguments.
L’argument de l’impartialité affirme que le spécisme est incompatible avec la notion de justice. L’argument montre que les trois idées suivantes ne peuvent être défendues en même temps: (1) Une décision ne peut être juste que si elle est prise de manière impartiale.
(2) Nous trouverions inacceptable d’être discriminés comme les autres animaux (3) Le spécisme est acceptable.
La question centrale sur l’existence d’une oppression animale est : L’animal est il un « autre » convenable pour être sujet de notre altruisme et notre recherche d’équité ?
Mots clés : fondamentaux, altruisme, compassion, déontologie, éthique, morale
Qu’est-ce qui justifie que l’on respecte un individu exactement?
Mots-clés: spécisme, sentience, moralité.
Que cela soit bien clair : aucun critère rationnel ne peut justifier le fait que l’on ne mange pas de chien ou de chaton si l’on mange du bœuf ou de l’agneau.
Qui exactement appartient à la catégorie des êtres sentients, auxquels l’éthique animale accorde des droits moraux?
Mots-clés: sentience, moralité, droits.
Au cours de l’histoire, l’élargissement de la sphère de la considération éthique aux individus discriminés sur leur couleurs de peau, genre, identité sexuelle, s’est réalisé par l’identification, la déconstruction et le dépassement de mécanismes d’exclusion en tout points similaires à ceux qui fondent le primat de l’être humain sur les autres êtres sensibles.
Il s’agit en étendant les droits moraux aux animaux de s’assurer que l’on ne puisse systématiquement sacrifier les intérêts de ces derniers aux intérêts humains autrement que dans les situations et suivant les principes qui justifient que l’on sacrifie les intérêts de certains humains aux intérêts d’autres humains.
(Traduction de l’article de Dan Cudahy et d’Angel Flinn, « The importance of being vegan) Défense du véganisme à partir de la théorie des droits. Arguments de base.
L’égalité de considération des intérêts ne signifie pas l’égalité de traitement: si un animal ne souffre pas de ne pouvoir quitter un pays ou pratiquer librement sa religion, tandis qu’un homme peut en souffrir, le traitement sera bien-sûr différent. Mais, lorsque des intérêts existent et sont analogues, ils doivent être pris en compte de manière analogue.
Le célèbre docteur Albert Schweitzer, qui a œuvré tant pour les hommes que pour les animaux, ne négligeait pas de remettre dans l’herbe un ver trouvé sur du béton. Conscient de ses responsabilités, il pensait que nous devons tous « juger au cas par cas, avec autant de sagesse et de compassion que possible ».
Francione et Charlton soutiennent que si vous pensez que les animaux importent moralement – si vous rejetez l’idée que les animaux ne sont que des choses – vos propres croyances requièrent que vous arrêtiez de consommer des aliments d’origine animale.
Lettre d’opinion écrite à l’occasion de la sortie, au Québec, d’un manifeste justifiant l’extension du statut juridique de personne aux animaux.
Mots-clés: statut juridique, loi, personne.
L’éthique animale peut s’appuyer sur différentes traditions éthiques. Aujourd’hui: le conséquentialisme.
Mots-clés: éthique animale, conséquentialisme, utilitarisme.
Introduction à la biologie du bien-être, « un domaine de recherche proposé, consacré à l’étude du bien-être des animaux en général, et plus particulièrement au sein de leurs écosystèmes naturels. »
Termes-clef: bien-être, animaux sauvages, éthique, recherche.
Les arguments de base qui soutiennent le véganisme pour les animaux.
Mots-clés: véganisme, spécisme, arguments, éthique animale.
L’éthique animale peut s’appuyer sur différentes traditions éthiques. Aujourd’hui: le déontologisme.
Mots-clés: éthique animale, déontologisme, Francione.
Notre civilisation occidentale a établi comme une évidence la supériorité de l’homme sur l’animal. Cette vision verticale se base pourtant sur des énoncés arbitraires, posés par un homme à la fois juge et partie.
Mots-clés: anthropocentrisme, représentations, spécisme.
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