L’éthique animale peut s’appuyer sur différentes traditions éthiques. Aujourd’hui: le conséquentialisme.
Mots-clés: éthique animale, conséquentialisme, utilitarisme.
L’éthique animale peut s’appuyer sur différentes traditions éthiques. Aujourd’hui: le déontologisme.
Mots-clés: éthique animale, déontologisme, Francione.
L’éthique animale peut s’appuyer sur différentes traditions éthiques. Aujourd’hui: l’éthique de la vertu.
Mots-clés: éthique animale, vertu.
Les arguments contre le spécisme.
Mots-clés: spécisme, arguments.
Qu’est-ce qui justifie que l’on respecte un individu exactement?
Mots-clés: spécisme, sentience, moralité.
Qui exactement appartient à la catégorie des êtres sentients, auxquels l’éthique animale accorde des droits moraux?
Mots-clés: sentience, moralité, droits.
La question centrale sur l’existence d’une oppression animale est : L’animal est il un « autre » convenable pour être sujet de notre altruisme et notre recherche d’équité ?
Mots clés : fondamentaux, altruisme, compassion, déontologie, éthique, morale
La plupart des philosophes admettent que nous avons des obligations envers tous les êtres « sentients », c’est-à-dire capables d’expériences plaisantes ou déplaisantes. Cet article décompose l’argument sentientiste et répond aux objection selon lesquelles ce critère serait anthropocentriste, expliquerait une caractéristique binaire par un critère graduel et serait difficile à appliquer.
Introduction à la biologie du bien-être, « un domaine de recherche proposé, consacré à l’étude du bien-être des animaux en général, et plus particulièrement au sein de leurs écosystèmes naturels. »
Termes-clef: bien-être, animaux sauvages, éthique, recherche.
Nous allons nous intéresser plus particulièrement au statut moral des animaux : quelle considération morale leur doit-on ? Doivent-ils être inclus dans le périmètre ou rester au-delà ? Cet essai va aborder la question d’éthique normative de savoir où doit s’arrêter notre considération morale.
Que cela soit bien clair : aucun critère rationnel ne peut justifier le fait que l’on ne mange pas de chien ou de chaton si l’on mange du bœuf ou de l’agneau.
L’idée selon laquelle les intérêts des animaux comptent moins que les intérêts des humains est-elle moralement justifiable ? Le débat lancé au début des années 1970, dont sont présentées ici quelques-unes des voix les plus significatives.
Titre original : Quanto contano gli animali ?, éd. Animus, G. Mercandalli, Milan, 1991.
Joel Marks, philosophe et défenseur des droits des animaux, explique comment il a réalisé que les vérités morales n’existent pas. Son engagement pour le véganisme est resté intact après ce tournant.
Plus de 500 universitaires issus de 40 pays et spécialisés en philosophie morale et politique proclament, au vu de l’état actuel des connaissances dans leur champ d’expertise, le caractère foncièrement injuste de l’exploitation animale. Cette Déclaration de Montréal est probablement le manifeste ayant recueilli le plus de soutiens de philosophes universitaires à ce jour.
Francione et Charlton soutiennent que si vous pensez que les animaux importent moralement – si vous rejetez l’idée que les animaux ne sont que des choses – vos propres croyances requièrent que vous arrêtiez de consommer des aliments d’origine animale.
Cet article présente l’antiréalisme moral, un courant de pensée selon lequel il n’existe pas de vérités morales objectives. Une discussion est ensuite menée sur la place de l’éthique dans le mouvement animaliste: il ne serait pas forcément pertinent de renforcer le poids de l’argumentation morale dans l’action collective.
Carl Saucier-Bouffard part de l’exemple du racisme pour montrer qu’une idéologie discriminatoire dominante peut aller de soi, et en quoi l’utilisation de critères arbitraires pour discriminer un individu est commun avec le spécisme. Il explique ensuite pourquoi une éthique non discriminatoire doit prendre en compte les intérêts des animaux
Question de morale, de probabilité, d’animaux, à partir d’un argument de Michael Huemer. Compte tenu de la somme astronomique de souffrance provoquée par l’exploitation animale, même 0,01% de chance que la souffrance animale doive être prise en compte à équivalence avec la souffrance humaine devrait mener à changer nos comportements. Les probabilités devraient donc mener à condamner l’exploitation animale, même en étant largement convaincus que le spécisme est justifié. Les dialogues de Huemer sont disponibles en anglais uniquement, les liens sont donnés dans la description de la vidéo.
Réponse à quelques objections soulevées sur la vidéo ÉTHIQUE ANIMALE : la probabilité d’une catastrophe. Pourquoi l’approche probabiliste empêche de rejeter tous jugements moraux comme étant subjectifs et infondés (argument en faveur du réalisme moral) ? Qu’est ce que la probabilité épistémique et pourquoi s’applique-t’elle à des théories éthiques ? Pourquoi même si la souffrance animale est 1000 fois moins importante que la souffrance humaine, l’approche probabiliste mène à la défense de l’abolition ? Pourquoi l’approche probabiliste ne peut être utilisée pour défendre la non consommation de plantes ?
Francione est tenant de l’approche par les « droits » en deux sens différents : sur le plan de la philosophie éthique en cela qu’il est anti-utilitariste, mais aussi, indépendamment de tout choix relatif à une école de pensée, parce qu’il est juriste. Jusqu’à un certain point, les deux aspects peuvent être séparés ; je retiendrai principalement le second qui est au demeurant le mieux développé dans le livre.
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