Après avoir visionné les vidéos d’L214, Geoffrey Le Guilcher réalise qu’on n’y apprend rien des “hommes en combinaisons tachées de sang qui pendent [les animaux] à des crochets”. En 2016, il décide donc de travailler dans un abattoir breton pour “tenir le couteau avec eux et raconter ces mains qui assomment, tuent et découpent des êtres sensibles toute la journée”.