Pour Jean Estebanez, la géographie humanimale propose de mettre en valeur une géographie partagée, c’est-à-dire de mettre l’accent sur la relation, sur ce en quoi nous nous partageons un monde commun. « Si les animaux participent de notre vie, […] ils viennent accompagner l’ensemble des questionnements que pose la géographie, c’est-à-dire, au fond, ceux de la dimension spatiale de la société ».