Dans son livre L’imposture antispéciste, Ariane Nicolas prétend montrer l’incohérence et la dangerosité de l’antispécisme en relativisant l’importance de la souffrance animale, en rappelant l’importance des plaisirs humains, en dénonçant le vocabulaire choquant utilisé par les militantes, leur mise en danger des « cas marginaux » ainsi que leur idéalisation et leur mépris de l’humanité.