Francione est tenant de l’approche par les « droits » en deux sens différents : sur le plan de la philosophie éthique en cela qu’il est anti-utilitariste, mais aussi, indépendamment de tout choix relatif à une école de pensée, parce qu’il est juriste. Jusqu’à un certain point, les deux aspects peuvent être séparés ; je retiendrai principalement le second qui est au demeurant le mieux développé dans le livre.