Publié le 1er juin 2018 dans la revue Science, l’article de Poore et Nemecek, dresse tout d’abord le constat alarmant d’une chaîne d’approvisionnement alimentaire (production + post-traitement et distribution) aujourd’hui incroyablement consommatrice de ressources.
Devrions-nous accorder plus de poids aux résultats à long terme ou aux résultats à court terme ?
Traduction depuis le Sentience Institute
Les militants pour les animaux devraient-ils promouvoir activement d’autres causes ou se concentrer exclusivement sur la défense des animaux ? Par exemple, quelle quantité de contenu de plaidoyer ne concernant pas les animaux devrait être partagé par une organisation de défense des animaux ou un militant sur ses réseaux sociaux ? Une traduction depuis le Sentience Institute
Devrions-nous utiliser toujours les mêmes slogans, images, etc., ou devrions-nous les adapter à chaque campagne, chaque association, etc.?
Une traduction depuis le Sentience Institute
À quel point devrions-nous utiliser des coups de pubs, buzz ou des stratagèmes qui suscitent beaucoup d’attention mais aussi beaucoup de rejet auprès de certains spectateurs, antagonisent d’autres mouvements sociaux (images de femmes sexualisées, phrases chocs offensives, costumes ridicules…) ou semblent prendre avec légèreté le sujet de la souffrance animale ?
Devrions-nous cibler notre communication militante vers la population en générale ou plus particulièrement vers les influenceurs ?
Traduction depuis le Sentience Institute
Pour beaucoup de végétariennes* et de véganes, c’est un mystère : nous faisons de notre mieux pour être attentionnées et compatissantes envers toute vie sensible et, par conséquent, choisissons de boycotter les produits animaux. N’est-ce pas quelque chose de louable? Mais alors pourquoi tant de gens se moquent, critiquent …
L’espèce humaine produit du cholestérol (endogène). La vitamine D est photosynthétisée à partir du cholestérol par l’exposition de la peau au soleil (rayons ultraviolets B, d’une longueur d’onde de 290 à 320 nanomètres). Cette vitamine est plus particulièrement importante pour l’absorption et l’utilisation du calcium (absorption intestinale, construction osseuse, maintien du taux sérique).
Une complémentation adéquate fonctionne parfaitement, mais un défaut de vitamine B12 peut provoquer une anémie, une dégradation du système nerveux et un défaut de réparation ou de synthèse de l’ADN (d’autres rôles probables, moins connus, font l’objet de recherches). La complémentation en vitamine B12 est la condition d’un véganisme pérenne.
Un article qui vous permettra de mieux comprendre le choix des doses de B12 dans les compléments alimentaires.
La vitamine B12 contenue dans les aliments d’origine animale est toujours combinée aux protéines. La vitamine B12 des compléments et des aliments enrichis n’est pas combinée aux protéines. Les véganes consomment ce nutriment d’origine bactérienne, en complément ou dans les produits enrichis. Nous allons donc expliquer comment elle est assimilée, lorsqu’on la consomme à l’état pur.
Les besoins ont été définis d’après des données humaines, et plus particulièrement d’après les doses qui permettent de guérir une carence en vitamine B12 (et qui préviennent toute rechute). La dose à partir de laquelle la réponse hématologique est globalement positive est de 1 microgramme (µg) injecté en intramusculaire par jour (rétention de 100 % pour des quantités aussi faibles), et de 1,5 µg pour les personnes dont le système d’absorption ne fonctionne pas (les pertes par excrétions sont alors maximales).
La vitamine B12 est un nutriment qui joue plusieurs rôles chez l’espèce humaine. Notamment : formation des globules rouges ; protection du système nerveux (cerveau compris) ; réparation et synthèse de l’ADN, de l’ARN, etc.
Faute de posséder les enzymes nécessaires, aucun membre du règne animal n’est en mesure de synthétiser la vitamine B12. Les bactéries constituent le point de départ de ce nutriment pour l’ensemble de la chaîne alimentaire.
Comment les aliments consommés peuvent affecter la façon dont une personne est perçue par les autres en termes de moralité, d’amabilité, et de « genre »? C’est ce qu’une étude américaine a essayé de déterminer en sondant une centaine d’adultes sur le véganisme d’un homme et d’une femme fictifs.
Cette étude, débutée en septembre 2013, conclut que la grossesse végane, bien menée, ne représente pas plus de risques qu’une grossesse omnivore. Appelée « Vegan–vegetarian diets in pregnancy: danger or panacea? A systematic narrative review » et publiée dans BJOG, la méthode de recherche s’est portée sur une première étape de recherche d’articles pertinents en utilisant différents moteurs de …
Les humains interviennent souvent dans la nature pour des raisons anthropocentriques ou environnementales. La réintroduction des loups dans des territoires d’où ils ont disparu, afin de créer ce que l’on appelle « l’écologie de la peur », actuellement débattue dans des régions comme l’Écosse, en est un exemple.
L’humain est-il un singe ? Cause et conséquence d’être une espèce seule en son genre.
Dans la classification actuelle, comme on le voit dans le tableau suivant, l’espèce humaine a droit non seulement à un genre, mais aussi à une famille entière pour elle toute seule, ce qui est inhabituel sans être exceptionnel.
L’élevage est responsable de 14,5 % des émissions de gaz à effet de serre. Et de 63 % de la déforestation en Amazonie.
Le 5e rapport du GIEC recommande une diminution importante de la consommation de viande.
Un végétalien émet 2,5 fois moins de GES par son alimentation qu’un omnivore occidental.
Conditions d’élevages et statistiques en France. Ces animaux sont sélectionnés pour leur productivité, on les mutile (castration à vif, ablation de la queue ou du bec), on sépare les mères et leurs petits.
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