Près de notre ville, il y a un centre de recherche agricole (INRA) très connu pour ses animaux à hublots : c’est-à-dire des vaches, des moutons et des cochons qui se baladent avec une canule dans le ventre, pour que les techniciens puissent faire des prélèvements à tout moment. Ce matin, j’ai téléphoné au responsable du bien-être animal de ce centre.
Rien ne prédisposait ce journaliste à, un jour, manier le couteau dans un abattoir. Mais Geoffrey Le Guilcher voulait comprendre qui étaient ces hommes “en combinaisons tachées de sang”, ceux qui tiennent les couteaux et ôtent la vie des bêtes avec violence pour que nous puissions manger leur viande.
Contenu pédagogique et vidéo (55min). La gorille Koko était mondialement connue parce qu’elle pouvait communiquer avec les humains
Témoignage poignant d’un ex aficionado.
L’acquisition des compétences d’urgentiste ne nécessite en aucune façon le recours à des expériences sur des animaux.
Éleveur de cochons à Nouveau Taipei (Taiwan), Lo Hung-Hsien a transformé son élevage en sanctuaire après avoir lu la tristesse dans le regard d’un cochon qu’il envoyait à l’abattoir. Il dédie désormais sa vie au végétarisme et à la protection des animaux.
Ce week-end en Bretagne, au repas d’anniversaire du cousin, il y avait non pas un cochon grillé, mais deux cochons grillés. Leurs cadavres ont tourné au-dessus du feu pendant des heures, à quelques mètres des grandes tables disposées dans le jardin. Ils tournaient déjà lorsqu’on s’est dit « Bonjour, ça va bien, vous avez fait bonne route ? ».
J’ai même travaillé dans un élevage de bars en Bretagne. Ainsi pendant plusieurs étés, j’ai alimenté, sorti les morts, trié, manipulé les poissons avec des épuisettes (havenaux). Un ancien éleveur raconte son quotidien et sa transition.
Il y a quelques jours, en pleines pérégrinations nocturnes dans les méandres d’internet, je suis tombée sur cette image. Devenez le végane que vous auriez aimé rencontré. J’y ai pensé un instant. La formule sonnait bien, un slogan facile à lancer, et terriblement peu subversif. Devenez le végane que vous auriez aimé rencontrer ? Oui mais …
C’est dimanche matin, j’ouvre Ouest-France en buvant ma tasse de café et découvre qu’un élevage à 1h de la maison ouvre ses portes dans le cadre de l’action de com’ de la filière agricole. Descriptif de la visite d’un élevage exemplaire.
Militants, sportifs, jeunes parents, coordinateurs VegOresto, bénévoles ou salariés à L214 : ils ont accepté de partager leur parcours, tous aussi inspirants les uns que les autres ! Introductions et liens vers ces portraits.
Être opposé à l’exploitation et à l’oppression des « non-humains » n’a rien à voir avec le fait d’être « ami des animaux ». Des amis des animaux, il y en a treize à la douzaine. Les restaurants avec viande à « gogo » en sont pleins. Non, je n’aime pas particulièrement les animaux !
Engagée depuis des années pour les animaux au sein de L214, Amélie a accepté de partager son parcours militant. Je vous propose d’aller à la rencontre de cette bénévole d’une gentillesse et d’une énergie à toute épreuve.
Exemples d’éleveurs reconvertis ouvrant une fenêtre sur un avenir différent. Les temps sont agités pour le monde de l’élevage: reconnaissance des animaux comme êtres « doués de sensibilité », plaidoyers à charge d’auteurs et de journalistes, manifestations d’éleveurs… La question de la place des animaux dans nos sociétés se pose.
De l’importance quand on est végane de ne pas être absolutiste dans la pureté végane, mais de manger la part de gâteau que nous offre notre mamie, pour ne pas nous couper de notre public.
Nous publions le témoignage d’un jeune homme, qui livre à une militante son sentiment sur une corrida à laquelle il a assisté.
Un matin, je sortis, et dans la blancheur de l’aube, je vis le canard picorer les grains de la prairie verdoyante. C’était magnifique, si calme, si paisible, comment aurais-je pu ne pas partager ce moment ? Mais cette fois encore, mes parents restèrent silencieux. Ils avaient l’air tristes, avec une pointe de réprobation, un air ordinaire, somme toute.
Résistance animale : Il aurait pu s’agir d’un conte né de l’imaginaire de Charles Perrault, mais non, ce récit est bien réel. Un bouc semble avoir guidé des dizaines d’animaux hors de l’enclos d’un marché aux bestiaux d’une petite ville américaine.
Dans Manifeste pour les animaux, publié en octobre 2014, Franz-Olivier Giesbert a réuni le témoignage de 8 personnalités se considérant comme étant sensibles au bien-être animal et également perçues par d’autres comme de ferventes défenseuses de la cause animale.
Parcours d’un végétarien pour les animaux. J’aime la viande. J’aime son odeur, j’aime sa texture, j’aime son goût. J’aimais la viande, et puis un jour, j’ai découvert que je n’étais pas seul sur Terre.
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