A partir du documentaire « Earthlings », E. Desaulniers s’interroge sur la représentation de la souffrance, humaine ou animale.
Mots-clés: souffrance, représentation, Earthlings, documentaire, photographie.
Plaidoyer en faveur de l’utilisation d’aliments issus d’organismes génétiquement modifiés afin d’éviter des tests toxicologiques injustifiés, de produire des nutriments et saveurs sans exploiter d’animaux, de produire des végétaux enrichis en nutriments rares dans le règne végétal, d’utiliser moins d’engrais pesticide et labour et favoriser la recherche scientifique.
Cet article rassemble une liste d’arguments pour et contre la démarche militante visant à changer les individus (plutôt que les institutions et/ou la culture). Cette stratégie est appelée « stratégie véganiste », surtout lorsque le changement visé est une modification du comportement de consommation. La plupart de ces arguments sont inspirés d’un article du Sentience Institute.
Devrions-nous cibler notre communication militante vers la population en générale ou plus particulièrement vers les influenceurs ?
Traduction depuis le Sentience Institute
Pourquoi la progression du végétalisme passerait très probablement par la « conversion » des grandes marques aux produits végétaux et comment chacun peut accélérer cette transition.
Mots clés : stratégie, économie, simili-carnés
Pour les personnes qui découvrent le milieu militant, il peut être utile de pouvoir situer les différents tensions idéologiques qui le traversent.
Mots clés : courants, mouvements, tendances, welfarisme, réformisme, abolitionnisme
Pire que les carnistes, il y a les modérés qui nous exhortent à l’immobilisme, à respecter le caractère sacré de la loi, à agir par les voies acceptables de la politique et à se montrer « aimables et dociles » dans le double but de rallier un maximum de soutiens et de donner une bonne image des véganes au public (comme si notre mission se résumait à du marketing).
Pour déterminer la meilleure manière d’encourager les gens à arrêter d’exploiter les animaux, certaines organisations plaidant pour le flexitarisme demandent à ceux et celles qui les exploitent comment nous devrions leur faire passer notre message.
Une action bénéfique en soi peut-elle s’avérer néfaste si elle est trop mise en avant ? Cet article prend le cas du zéro déchet en comparant son efficacité pour la vie marine et le climat à la non consommation de poisson et au végétarisme. Trois contre-arguments et nuances sont aussi abordés.
Compte rendu : La promotion d’un mode de vie individuel ne risque t-elle pas de masquer la dimension politique de la lutte animaliste ? La tendance identitaire du véganisme comporte t-elle des avantages, présente-elle des risques de dérives ? La notion sous-jacente de pureté associées au véganisme peut-elle poser problème ?
Cet article est un extrait de l’article Où mène la confrontation ? paru sur ce même blog. Cet extrait ne présente que les aspects négatifs de la confrontation et devrait donc être complétés avec la prise en compte des arguments en faveur de ce mode d’action.
Mots clés : vitrines, action directe, confrontation, violence, opinion publique, crédibilité
Il faut définir la « désobéissance civile » comme un acte de protestation collective, enfreignant délibérément le droit (par contraste avec des formes légales de protestation) et basé sur des principes (par contraste avec des délits « courants » ou des émeutes « sans motifs »), qui poursuit le but politique de changer certaines lois, certains dispositifs ou bien certaines institutions.
J’ai précédemment exprimé mes inquiétudes concernant une étude dans laquelle le Humane Research Council (aujourd’hui appelé Faunalytics) a déformé ses résultats pour faire valoir que nous devrions militer pour que les gens réduisent leur consommation de viande plutôt que de promouvoir le véganisme.
On le voit, ce n’est pas parce qu’une personne n’est pas à 100 % végane qu’elle ne fait pas avancer les choses. Selon une étude récente, 36 % des Américains se disent ouverts à l’alimentation végétale. Et c’est un changement qui sauve de façon directe la vie de nombreux animaux : pas moins de 400 millions rien que l’année dernière.
Avec l’arrivée de 2016, une période naturelle de changement et de remise en question, je me suis demandé si le temps n’était pas venu de mettre le terme « végétarien » au placard. Peut-être le mot avait-il plus de signification au 19e siècle et plus de valeur en terme de dialogue émergent concernant le rôle des animaux non humains dans notre société…
La libération animale est probablement la problématique de justice sociale la plus ardue et la plus large que les humains n’aient jamais abordée. Les enjeux sont immenses, les abats sont sur toutes les tables, la tâche semble incroyablement intimidante. Et pourtant je suis sûr que nous allons gagner.
Laissons les lâches s’occuper de stratégie pour le lendemain, la liberté n’attend pas, nous irons droit au geste. Les sauvetages n’attaquent pas la dictature mizoone, les sauvetages ne permettent pas aux milliards de séquestrés de pouvoir se défendre. Quand il y a plus de 400 millions de meurtres par jour, les emprisonnés ont besoin de liberté et de leurs solidarités pour se défendre. Et les libérations massives sauveront effectivement plus que nos sauvetages sporadiques…
Le terme de « bien-être animal » est trompeur à plusieurs égards, et tend à minimiser la réalité des souffrances des animaux d’élevage. D’après Marie-Claude Marsolier, il serait plus convenable d’utiliser « mal-être animal » dans la plupart des cas, et plus généralement de ne pas cautionner des termes issus de l’élevage et heurtant le sens commun.
Devrions-nous accorder plus de poids aux résultats à long terme ou aux résultats à court terme ?
Traduction depuis le Sentience Institute
Partant de l’accusation de sectarisme fréquemment formulée contre les véganes, le magazine Versus propose d' »accompagner la contre-culture végane de manière ouverte, inclusive, et la plus respectueuse possible des personnes ».
Mots-clés: contre-culture, secte, véganisme.
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