Qu’est ce que l’antispécisme ? Erreurs d’interprétations et définitions, leurs origines et leurs conséquences.
Sections : Je suis désolé d’avoir trompé les gens ; Je suis désolé d’avoir cru et partagé des statistiques douteuses ; Je suis désolé pour bien d’autres raisons encore ; Je suis désolé pour mes choix de langue horriblement insensibles ; Je suis désolé pour toutes mes auto-humiliations publiques
Lorsqu’on devient vegan, on aimerait que notre entourage le devienne aussi. Mais on ne s’y prends pas toujours de la bonne façon. Alors, comment faire ? Cet article propose 4 actions au delà d’en parler : cuisiner, proposer des documentaires, envoyer des pétitions et aller ensemble à des événements.
Dans une grande partie de mes écrits, posts et mèmes, je suggère d’y “aller doucement“ lorsque nous abordons d’autres personnes sur le sujet des droits des animaux, devenir végans, etc. Nous ne devrions pas les surcharger d’informations, nous devrions vérifier ce qui les intéresse, etc..
Ainsi, l’emploi du non-dit peut-il être un vrai piège linguistique ; et de fait, il est souvent employé comme tel. Dire, comme le font les défenseurs de la vivisection, que la vivisection est utile, ou, comme beaucoup de ses adversaires, qu’elle est inutile, sous-entend toujours : « utile – ou inutile – pour les humains ».
Texte sur la communication et les rapport entre végétariens et « viandistes », en particulier dans les milieux militants de gauche (issu de la brochure « Nous ne mangeons pas de viande pour ne pas tuer d’animaux » 1989)
Mots-clés: communication, dialogue, militantisme.
Il y a quelques jours, en pleines pérégrinations nocturnes dans les méandres d’internet, je suis tombée sur cette image. Devenez le végane que vous auriez aimé rencontré. J’y ai pensé un instant. La formule sonnait bien, un slogan facile à lancer, et terriblement peu subversif. Devenez le végane que vous auriez aimé rencontrer ? Oui mais …
Tobias Leeneart souhaiterait que les animalistes encouragent la compassion dont font preuve les gens scandalisés par le Festival de la viande de chien de Yulin, plutôt que de dénoncer leur racisme ou leur hypocrisie.
Pour beaucoup de végétariennes* et de véganes, c’est un mystère : nous faisons de notre mieux pour être attentionnées et compatissantes envers toute vie sensible et, par conséquent, choisissons de boycotter les produits animaux. N’est-ce pas quelque chose de louable? Mais alors pourquoi tant de gens se moquent, critiquent …
Les clichés et vidéos qui agissent principalement sur les émotions ne favorisent pas la réflexion personnelle. Le choc s’estompe avec le temps, l’idéologie aveugle aussi. La mise en pratique d’une consomm’action végane a plus de chances d’être durable lorsqu’elle est fondée sur des éléments qui peuvent être démontrés de manière rationnelle.
Il nous est difficile de lutter contre la croyance qu’une alimentation naturelle soit meilleure qu’une alimentation artificielle. Mais nous pouvons au moins éviter de présenter l’alimentation végétale comme « artificielle », en préférant par exemple le terme « alimentation en B12 » à l’idée de « complémentation ».
Le « militantisme végé » suppose quelques dispositions particulières que l’on peut rappeler ici : non-violence, altruisme, connaissance, tolérance.
Vous cherchez le moyen de réduire l’impact positif que vous créez en faveur des animaux en étant végane ? Ne cherchez plus ! Rendez-vous à la toute première Conférence pour un Militantisme Négatif pour les Animaux. Cet événement permettra d’aiguiser finement les aptitudes à la critique de ceux qui sont toujours là pour dire du mal des bonnes nouvelles.
Tous les jours, nous découvrons de nouvelles images dans des abattoirs ou tout autre horreur. Il est souvent difficile de faire face à tant d’atrocités. Témoignage et conseils pour utiliser ses émotions comme moteur. Sections : Faire un geste symbolique ; Se préserver ; Méditer ; En parler ; Limiter les réseaux sociaux.
c’est justement parce que l’antispécisme est un concept si raffiné que nous avons tendance à l’utiliser dans toutes les circonstances, et c’est là, à mon humble avis, que nous faisons peut-être erreur.
Si vous avez le sentiment que la vie en société est la pierre d’achoppement qui vous empêche de devenir végane, vous n’êtes pas seul. Les personnes qui relèvent le défi d’une période d’essai rapportent souvent que la vie en société fait partie de leurs craintes. Stratégies d’évitement de la végéphobie.
Les cinq raisons principales pour lesquelles les personnes renoncent à passer au véganisme ou au végétarisme :
J’aime trop le goût de la viande (81 %) Les substituts à la viande sont trop chers (58 %) Je ne trouverais pas d’idées de repas (50 %) Ma famille mange de la viande (41 %) L’attitude de certains végétariens/véganes (26%)
Méthode en 5 points, décrivant pourquoi et comment les appliquer : Préparation et approfondissement de sa réflexion, écoute et compréhension des idées peurs et motivations de l’autre, partage de points de vues sans créer d’oppositions, recherche de solutions, gestion de ses émotions.
Car même si la colère peut nous aider à avancer et à nous rassembler, je pense qu’agir en montrant sa colère aux gens n’est, dans la plupart des cas, probablement pas une bonne chose.
À moins qu’on ne vous invite à manger, il n’est généralement pas nécessaire d’annoncer aux gens que vous êtes végane. Si quelqu’un cuisine pour vous, assurez-vous préalablement que cette personne sait que vous êtes végane : ne vous présentez pas chez quelqu’un pour refuser le repas qu’on vous a cuisiné !
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