Approche marxiste de l’exploitation animale, à partir des travaux de Barbara Noske et Bob Torres.
Mots-clés: marxisme, économie, droits animaux.
Vidéo humoristique mettant en scène un communiquant d’Inverteb, parodiant la communication d’Interbev auprès des élus et des écoles, et émettant quelques critiques contre l’élevage (surconsommation, utilisation des ressources et territoires, manque de traçabilité, pratiques industrielles…).
Les mesures de libéralisation des échanges dans le cadre du GATT puis de l’OMC constituent un frein au progrès du bien-être animal. En effet, si un pays impose des normes élevées de protection des animaux aux éleveurs nationaux, et que ces mesures ont un coût, cela les désavantage dans la concurrence internationale.
je vous propose de regarder de plus près les conflits d’intérêts de 3 nutritionnistes régulièrement interviewés par les médias sur la question du végétalisme : le Dr. Jean-Michel Lecerf, le Dr. Jean-Michel Cohen et le Pr. Patrick Tounian.
Même ce que nous mangeons subirait les effets d’une telle taxe, mais ce n’est pas très étonnant quand on sait qu’en France la première source d’émissions est l’activité agricole : pour le bœuf et le mouton : environ 6 euros en plus par kg de carcasse chez le producteur (donc probablement jusqu’au double chez le boucher pour de la viande sans os) : adieu les steaks de 500 g….
Greenpeace dénonce dans un rapport de 150 pages les liens entre les défenseurs d’une alimentation carnée avec les milieux politiques, éducatifs ou médicaux, tentant de convaincre que l’élevage industriel n’existe pas ou encore que consommer moins de viande n’est pas nécessaire.
Discours écrit pour la Marche pour la fermeture des abattoirs qui a eu lieu le 17 juin 2017 à Ottawa. Inspiré entre autres de mes billets « Les défis économiques » et « La pyramide des oppressions et l’intersectionnalité ».
mots clés: abattoirs, inégalités sociales.
Notre surconsommation de viande et de produits laitiers, issus de l’élevage industriel, déstabilise les écosystèmes et la planète. 75 % des terres agricoles dans le monde servent à nourrir des bêtes qui serviront, ensuite, à nous nourrir. Notre mode de vie carnivore, réservé à une poignée de privilégiés, exerce une pression telle sur notre planète qu’il déstabilise les écosystèmes.
Bilan en 2017 de l’économie de la filière élevage : 1. Comment sont fixés les prix des produits agricoles ? 2. Qui touche quoi ? 3. Quelles subventions ? 4. Une crise ancienne et complexe
La tauromachie en Espagne, au Portugal et dans le sud de la France est très largement déficitaire et ne survit que grâce à des subventions publiques. Cette industrie reçoit des aides financières locales, régionales, nationales et européennes.
Par Romain Espinosa. Pourquoi les économistes devraient-ils s’intéresser à la question de la consommation de produits d’origine animale ? Quelle peut être la contribution de l’économie aux discussions académiques existantes ? Quelles raisons peuvent expliquer le peu d’intérêt porté jusque-là par les économistes à cette problématique ?
Point sur les ressources économiques de la chasse en France en 2019 : permis, cotisations, aides directes et indirectes, patrimoine.
État des lieux et perspectives quant au rapport de force économique entre laits végétaux et laits animaux.
Mots clés : lait, économie, industrie laitière, lait végétal
L’Organisation mondiale du commerce (OMC) naquit des négociations de « l’Uruguay Round » entre pays membres du General Agreement on Tariffs and Trade (GATT). Elle fut créée en janvier 1995.
Mots clés : réglementation commerce international, capitalisme, mondialisation
Certains éleveurs lâchent leur activité au profit de la méthanisation, plus rémunératrice, subventionnée et avec un prix plancher garanti sur vingt ans. Dans d’autres exploitations, la méthanisation est devenue l’activité principale et encourage de nouvelles installations. L’optimisation de la production de biogaz concurrence aussi l’élevage pour l’utilisation des cultures intermédiaires.
C’est dans les pays riches que la consommation de produits animaux est la plus forte. Le financement d’aides à l’exportation de certains produits en dehors de l’Union européenne est fréquent et défavorise l’agriculture locale des pays du tiers-monde.
Nos impôts servent à financer une industrie tournée vers l’export qui, certes, rapporte de l’argent, mais aux seuls grands acteurs agro‐alimentaires, plutôt qu’aux agriculteurs. Une agriculture lourdement subventionnée, des éleveurs sous‐payés, une surproduction structurelle… Comment comprendre l’économie du lait ? Par Élodie Vieille Blanchard
Critique de la philosophie anthropocentrique de Marx et approche marxiste de l’animalisme.
Mots-clés: anticapitalisme, anthropocentrisme, Marx, animalisme, communisme.
Evaluation sommaire de l’impact d’un choc végane (le passage à une France végane) sur les secteurs de l’économie française qui seraient touchés. Les secteurs directement touchés par un choc végane représentent en termes d’actif total immobilisé un peu plus de 5% de l’ensemble de l’actif immobilisé et 46% de celui des industries manufacturières. 1,5% de l’actif total immobilisé de l’ensemble de l’économie française, soit une centaine de milliards d’euros, serait détruit.
Un article de la revue Food Policy identifie quatre stratégies utilisées pour minimiser les effets sanitaires et environnementaux de la consommation de viande rouge et transformée :
– « le débat reste ouvert »,
– « la plupart des gens n’ont pas à s’inquiéter »,
– « continuez à manger de la viande pour être en bonne santé » et
– « pas besoin de réduire sa consommation pour être écolo ».
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