Un matin, je sortis, et dans la blancheur de l’aube, je vis le canard picorer les grains de la prairie verdoyante. C’était magnifique, si calme, si paisible, comment aurais-je pu ne pas partager ce moment ? Mais cette fois encore, mes parents restèrent silencieux. Ils avaient l’air tristes, avec une pointe de réprobation, un air ordinaire, somme toute.