Avant, je voyais comme de drôles d’oiseaux les personnes qui militent pour qu’on réfléchisse – en termes de problème à résoudre – à la souffrance des animaux vivant à l’état sauvage. Mais ça, c’était avant. Du coup, vous pensez que je vais essayer de vous convaincre à mon tour. Et vous avez raison ! Mais pas n’importe comment. Je propose un test.