Les subventions maintiennent à flot les éleveurs et les grands céréaliers, dont la majorité de la production est dédiée à nourrir les élevages. 87% des éleveurs spécialisés dans la viande bovine et 65% des céréaliers et cultivateurs d’oléoprotéagineux n’auraient pas de revenus sans les subventions. Point par filière, pour l’année 2017.