Selon Thomas Lepeltier, l’approche suggérée par Tobias Leenaert manque de subtilité : il prêche avec trop d’assurance une approche mono-stratégique ou encore sous-estime l’importance d’arguments éthiques clairs et de l’exemplarité pour changer les consommations et susciter des vocations militantes. De plus, il passe sous silence l’importance des cibles politiques et règlementaires.