Gary Francione part de l’idée communément acceptée qu’il n’est pas légitime de faire souffrir et de tuer des animaux pour son plaisir, sans nécessité, pour exposer le véganisme comme une conséquence logique. 4 contre-arguments sont réfutés : le fait de tuer indirectement, le bien-être, les morts accidentelles et la sensibilité des plantes.