Or, il se passe la même chose lorsqu’on quitte le niveau verbal pour gagner celui des actes : lorsqu’on maltraite ou insulte quelqu’un, on le dévalorise aussi en se valorisant soi ; s’il s’agit d’un dominé, c’est alors une façon de bien inscrire son appartenance à lui à un groupe dominé, de la lui rappeler tout en se « prouvant » ainsi son appartenance à soi à un groupe dominant.