Charlotte Arnal explique comment le spécisme se déploie insidieusement à travers notre langage, entérinant la domination humaine à travers l’utilisation d’un vocabulaire réservé aux humains, la dé-personnification, le vocabulaire péjoratif évoquant d’autres espèces animales ou divers procédés rhétoriques banalisant les souffrances animales.