Le terme de « bien-être animal » est trompeur à plusieurs égards, et tend à minimiser la réalité des souffrances des animaux d’élevage. D’après Marie-Claude Marsolier, il serait plus convenable d’utiliser « mal-être animal » dans la plupart des cas, et plus généralement de ne pas cautionner des termes issus de l’élevage et heurtant le sens commun.