Sans s’attarder sur le cas d’Hitler, cet article montre en quoi le régime Nazi a apporté quelques améliorations à l’encadrement juridique de la protection animale, au moins autant à des fins de propagande que par la conviction de quelques membres influents. Pour autant, le IIIe Reich n’a jamais remis en question l’utilisation habituelle des animaux et a par ailleurs sacrifié un grand nombre d’entre eux dès que cela servait ses intérêts.