La philosophe Valéry Giroux défend les droits fondamentaux des animaux à travers l’argument consensuel selon lequel les souffrances non nécessaires doivent être évitée, puis à travers l’argument antispéciste. Elle aborde ensuite les implications éthiques et politiques (abolitionnisme) puis les désaccords entre animalistes (prédation, utilité du réformisme, solidarité entre luttes, illégalisme).