En souscrivant aux demandes de minorités marginales (chasseurs, industriels…) et en refusant de débattre de l’arrêt de pratiques rejetées par une large majorité de la population, de nombreux partis politiques tiennent une position extrémiste vis-à-vis des animaux. La plupart des associations animalistes réformistes sont bien plus représentatives de la norme en la matière.