Article rappelant le rôle central de l’élevage dans l’agroécologie telle qu’elle est pratiquée actuellement. Mathieu Marguerie y défend qu’une agroécologie optimale reposerait sur de l’élevage paysan extensif afin de maintenir : la fertilité des terres, l’exploitation des terres les moins fertiles, l’utilisation des coproduits non comestibles par des humains, ainsi que la biodiversité des prairies
Si le but est juste de maximiser la production sur le moins de surface, sans intrants, est que l’optimal est à 20% de la consommation de produits animaux actuelle, alors il faut aller vers une population à 80% végane. Ca aurait pu être une conclusion plus honnête que « le véganisme pourrait poser des problèmes ».